Comment trouver votre premier sextoy ?

Depuis un certain temps, les sextoys vous font de l’œil de l’autre côté des vitrines et semblent vous murmurer « je veux rejoindre ta table de chevet ». Que ce soit pour soulager votre index, grandement mis à contribution pendant vos plaisirs solitaires, apporter une nouvelle fraîcheur à vos jeux de jambe en duo ou sillonner votre intimité autrement, vous avez plein de bonnes raisons d’acquérir ces jouets aux détonations jouissives. Mais en tant que novice, vous pouvez vite vous perdre dans votre quête et faire les mauvais choix. Voici donc quelques lignes directrices pour trouver votre premier sextoy, qui sera peut-être le précurseur d’une grande collection siliconée. 

Allez sur des sexshops reconnus

Pas question de choisir votre premier sextoy sur un site hasardeux où tout et n’importe quoi se côtoie. Cet objet est voué à embrasser une zone particulièrement sensible de votre corps, alors évitez de succomber aux publicités Instagram douteuses ou de faire votre shopping intime sur des plateformes inconnues au bataillon. Il existe suffisamment de boutiques qui se destinent à émouvoir l’entrejambe et qui sont dignes de confiance. Qu’il s’agisse de grandes références ou de lieux plus confidentiels, mais aussi fiables, vous avez de quoi trouver votre sexshop de prédilection.

Si vous n’êtes pas à l’aise à l’idée de pousser les portes d’un magasin physique et que vous savez que vous allez finir rouge pivoine, faites vos achats depuis votre ordinateur. Vous aurez plus de libertés. Rassurez-vous, les colis sont « discrets » et ne laissent rien transparaître de ce qu’ils renferment. Alors non, le livreur ne va pas vous juger ou vous prendre pour un.e « obsédé.e » du sexe. Pour choisir votre premier sextoy, allez sur des sexshops « réputés ». Vous verrez, ce sont de véritables temples de l’érotisme.

Sélectionnez un premier sextoy en accord avec vos préférences

Pour choisir votre premier sextoy, n’y allez pas à l’aveugle ou à la méthode du « plouf, plouf ». Interrogez-vous d’abord sur ce qui vous fait frissonner et ce qui met votre vulve dans tous ses états. Si vous ne savez pas encore identifier vos points de sensibilité, explorez votre corps comme s’il s’agissait d’une carte aux trésors. Ces auto-caresses, tantôt délicates, tantôt énergiques, sont éclairantes. Elles révèlent vos goûts sous la ceinture. C’est un exercice indispensable pour bien filtrer les « fonctions » de votre sextoy.

Vous aimez faire des mouvements circulaires intenses autour votre clitoris ou au contraire vous préférez exercer une pression dessus ? Vous vous cantonnez presque exclusivement à l’extérieur de votre vulve ou vous êtes plus aventureuse ? Toutes les voies de l’entre-cuisse mènent à l’extase. Mais vous avez forcément vos pratiques « attitrées » qui vous font bondir au plafond. En les prenant en compte, vous pouvez aisément affiner vos critères de recherche.

Préférez un sextoy minimaliste, sans trop d’options

Oubliez les sextoys « complexes » aux technologies de pointe ultra sophistiquées, vous risquez d’être légèrement déconcertée par tous ces boutons et de perdre le fil du plaisir. Vous êtes susceptible de passer plus de temps à décoder l’objet qu’à prendre votre pied. Et ce n’est pas du tout le but. Vous n’achetez pas un sextoy pour prendre des cours de « techno ».

Les jouets conçus comme des engins de compétition, avec des options en pagaille, sont plutôt réservés aux personnes chevronnées. Pour débuter, choisissez un premier sextoy simple avec seulement une dizaine de modes de vibration. Plus intuitif et facile à prendre en main, il vous permettra d’aller directement à l’essentiel.

Prêtez une attention particulière aux matériaux

Les sextoys sont en contact rapproché avec votre intimité. Ils flirtent avec vos muqueuses, particulièrement réactives et fragiles. Alors mieux vaut surveiller de très près la matière qu’ils revêtent. Pour choisir votre premier sextoy, orientez-vous vers des modèles en silicone médical, sans phtalates. Ils sont plus doux et respectueux de la flore vaginale. Ils ont également l’avantage de se nettoyer facilement, avec un peu d’eau tiède et un savon neutre.

Contrairement à d’autres textures qui sont de vrais foyers bactériens, le silicone médical réserve un accueil des plus tendres à votre vagin. Mais ce type de sextoy ne va pas sans son binôme incontesté : le sacro-saint lubrifiant. Si vous êtes de nature plus curieuse et téméraire, vous pouvez aussi essayer les sextoys en verre ou en bois.

Privilégiez un sextoy silencieux

Certains sextoys font un vacarme pas possible et trahissent votre petite session de masturbation, supposée être « discrète ». Or l’objectif n’est clairement pas de réveiller tout le voisinage avec des bruits qui se rapprochent grosso modo d’une perceuse.

Si vous voulez embarquer votre jouet partout et l’utiliser sans vous faire prendre la main dans le slip, dirigez votre choix vers des modèles « silencieux ». Les vibrations sont « étouffées » et quasi imperceptibles à l’oreille. Ainsi vous pouvez le dégainer n’importe où en mode « incognito ».

Misez sur des modèles waterproof

Pour inaugurer votre assortiment de sextoys comme il se doit, veillez à ce que votre tout premier jouet porte la mention waterproof. Au-delà d’être plus prudent à nettoyer, il vous invite à déporter le plaisir sous la douche.

Eh non, les sextoys ne sont pas seulement réservés à la chaleur de vos draps. Ils peuvent aussi se convertir en partenaire sexuel amphibie et accompagner vos trempettes. Notre petit doigt nous dit que vous allez passer plus de cinq minutes sous le pommeau…

Partir à la recherche du premier sextoy peut être assez intimidant, voire déroutant. Mais laissez votre vulve parler à la place de votre cerveau et vous ferez un choix éclairé. Après vous être initié.e à ces instruments de plaisir, vous aurez certainement envie d’élargir vos horizons et de vous faire une petite réserve à la « 50 Shades ».

Transidentité : 8 idées reçues à combattre

Sur les plateaux TV, dans les séries, au centre des hémicycles politiques, dans le monde de la mode… les identités trans gagnent en visibilité. Pourtant, dans l’imaginaire collectif, la notion de transidentité reste encore floue. Les amalgames et maladresses peuvent résonner comme une véritable torture pour les personnes concernées. Sur la toile, des âmes engagées enchaînent alors les discours pédagogiques pour évincer les clichés. Pour ne pas sombrer dans une image caricaturale et désuète de la transidentité, on reprend ce flambeau instructif pour vous éclairer à l’approche la Journée internationale de visibilité transgenre le 31 mars.

« C’est juste une mode »

La transidentité existe depuis plusieurs siècles, mais c’est seulement depuis une dizaine d’années que notre société moderne la place sur le devant de la scène. Sur le marché du livre, une poignée de récits se concentre sur cette lente évolution. Certains ouvrages sont datés, mais retracent avec justesse la fastidieuse et éprouvante épopée de la transidentité. C’est le cas de « La confusion des sexes : le travestissement de la Renaissance à la Révolution« .

On y découvre l’histoire de Dumoret alias Mademoiselle Rosette qui se tient en Occitanie dans les années 1600. Un homme est persuadé d’être une femme et use de toutes les parades pour gommer ses traits masculins. Dans les rues, il brave les codes de la virilité et se vêtit de robe, il assume pleinement sa différence. Chassé, banni de son propre village et moqué par ses camarades, il s’enfuit à la campagne. Ce parcours tragique est loin d’être un cas unique.

D’autres archives mettent en lumière des personnages emblématiques à l’image du Chevalier d’Éon. Diplomate et espion de Louis XV, il a toujours maintenu des ambiguïtés sur son sexe. Bien plus qu’une simple couverture, son apparat féminin lui colle à la peau. Même son de cloche dans l’Ouest Américain. En 1908, Harry Allen, un hors-la-loi célèbre affirmait au journal Seattle Sunday Times « Je n’aimais pas être une fille. Je ne me sentais pas comme une fille et je n’ai jamais ressemblé à une fille ».

Autant d’exemples qui prouvent que la transidentité est aux antipodes de la simple « tendance ». Au 21e siècle, les paroles des personnes concernées résonnent dans toutes les sphères. Désormais, des émissions tape-à-l’œil s’emparent de ce sujet pour faire grimper les audiences. Problème : elles laissent de côté les diverses avancées historiques.

« La transidentité est une maladie mentale »

Le 13 août 2020, Byun Hee-soo, sergent-chef dans l’armée de Corée du Sud, subit en 2019 une opération de réattribution sexuelle en Thaïlande. Cette intervention chirurgicale a été mal perçue par ses supérieurs. Elle a été limogée par l’armée au motif qu’il s’agit d’un « handicap mental et physique ». Cette considération a longuement siégé dans les esprits ainsi que dans les anciens manuscrits. C’est seulement depuis le 27 mai 2019 que l’OMS a retiré la transidentité des maladies mentales. La France avait été très en avance. En février 2010, elle avait été le premier pays au monde à retirer « le transsexualisme » et les « troubles précoces de l’identité de genre » de la liste des affections psychiatriques.

À travers les âges la binarité était toujours prônée à outrance. Dès qu’on dérogeait à cette norme, l’étiquette pathologique venait se coller comme la seule justification possible. Cependant, une étude menée par des scientifiques du centre de recherche sur l’autisme de l’Université de Cambridge faisait un constat surprenant. D’après les résultats, les adultes transgenres seraient trois à six fois plus susceptibles que les autres d’être diagnostiqués autistes.

« On se rend compte de la transidentité dès l’enfance »

Il n y a pas d’âge pour faire son coming-out trans. Ces derniers temps les paroles se délient et les documentaires foisonnent. Récemment la petite Lilie siégeait en maître sur presque tous les plateaux télé. À seulement 8 ans, elle a l’impression d’être née dans un corps étranger. Ses attributs sexuels masculins ne lui correspondent pas et elle en a conscience depuis toujours. Le documentaire « Petite Fille » diffusé sur Arte en décembre 2021 se penchait aussi sur cette revendication précoce et audacieuse. On y découvrait le quotidien de Sasha, 8 ans, une enfant transgenre. Malgré leur candeur naturelle et leur insouciance, les deux enfants brandissent avec fermeté les couleurs arc-en-ciel.

À l’inverse, chez d’autres personnes, la transidentité se profile plus tardivement, soit parce qu’elle a été réprimée, soit parce qu’elle a été volontairement enfouie. L’acteur Elliot Page a fait son coming-out trans à 34 ans, sept ans après son coming-out gay. Pourtant, dès l’âge de 9 ans, il demande à sa mère si il pourra un jour devenir un garçon. Au cinéma, il enchaîne des rôles qui ne reflètent pas sa vraie nature. Ce sont les tournages à répétition qui lui ont ouvert les yeux. Fatigué de dresser une façade romantique et girly devant les caméras, il décide de mettre un terme à son mal-être. Sa transition a été une délivrance. Désormais Elliot Page est devenu une icône de la transidentité. Verdict : il n y a pas d’âge pour assumer ses choix.

« La plupart des personnes trans se prostituent »

Cette caricature tant revendiquée dans les films n’est pas valable pour toutes les personnes transgenres. Une vidéo Brut proposait une immersion au cœur de ce monde nocturne mouvementé, voire horrifiant. La reporter a posé sa caméra au Bois de Boulogne à Paris, une artère centrale de la prostitution. Ce court extrait révèle la face cachée de la Ville Lumière. Au total, près de 500 travailleuses du sexe transgenres attendraient leurs clients à cet endroit. On y découvre des témoignages glaçants et on pousse les portes de ce dangereux quotidien. Mais cette sombre réalité n’est pas une généralité.

Les personnes trans-identitaires existent dans toutes les catégories socioprofessionnelles. Depuis quelques mois les mannequins trans crèvent d’ailleurs l’écran et sillonnent les podiums de grandes pointures. Dans les hautes sphères politiques, des personnalités transgenres s’affirment davantage. En France, Marie Cau est la première maire transgenre et elle entend bien cartonner aux présidentielles 2022. Au Pays de l’Oncle Sam, Joe Biden a nommé Rachel Levine, femme transgenre comme ministre adjointe de la Santé.

« La case « chirurgie » est un passage obligatoire »

L’ablation de l’utérus et des ovaires était obligatoire en France pour bénéficier d’un changement d’état civil, jusqu’au 18 novembre 2016. Cette ablation avait pour objectif de réduire les risques de cancer sous hormonothérapie à long terme. D’après cette même loi, les personnes trans devaient justifier « le caractère irréversible » de leur transition pour obtenir leur changement de sexe à l’état civil. Plus terrible encore, en 2011, le ministère de la Justice confirmait que cela impliquait la perte de fécondité.

Depuis, la juridiction a évolué. En effet, selon l’arrêt rendu le 6 avril 2017 par la Cour européenne des droits de l’Homme, « le fait de conditionner la reconnaissance de l’identité sexuelle des personnes transgenres à la réalisation d’une opération ou d’un traitement stérilisant qu’elles ne souhaitent pas subir » constitue une violation de leur droit au respect de la vie privée.

Les opérations chirurgicales sont lourdes et peuvent se révéler douloureuses. C’est un long processus, parfois épuisant. Les rendez-vous s’enchaînent, il faut passer par des psychiatres, des endocrinologues, des chirurgiens et de nombreux autres spécialistes. Alors, les personnes qui souhaitent changer de genre ont davantage recours aux traitements hormonaux. La plupart d’entre eux sont remboursés par la Sécurité Sociale, les mutuelles ou par des aides spécifiques d’organismes tels que l’ALD 31.

« La transidentité c’est comme le transvestisme »

Certains sketchs de divertissement tels que « Samantha Oups » ou « Catherine et Liliane » créent la confusion. Dans ces mises en scène, les personnages masculins se pomponnent et portent des talons aiguilles pour incarner un rôle féminin. Ce n’est que de la pure fiction. Le temps d’un tournage, ils s’emparent de perruques et autres accessoires pour susciter le rire du public. Mais une fois en dehors du plateau, ils reprennent leur voix rauque. Le transvestisme consiste à porter volontairement des vêtements du sexe opposé. Cette attitude ne s’inscrit pas dans le temps, elle est passagère. Par exemple, on peut adopter ces looks lors de soirées déguisées et s’en débarrasser le lendemain.

Une personne peut aimer « passer » dans l’autre genre momentanément, en adopter les codes tout en gardant son identité. C’est aussi le cas des drag queen. Conchita Wurst en est l’exemple type. Le vainqueur de l’Eurovision 2014 avait suscité de nombreux débats. Avec sa longue chevelure brune, sa barbe taillée au millimètres, son maquillage étincelant et sa robe pailletée, il a dénoué les tabous autour des drag queen. Ce n’est pas pour autant qu’il s’identifie comme une personne trans-identitaire.

« La transidentité n’est pas compatible avec la parentalité »

Les lois archaïques s’effacent pour laisser place à une plus grande tolérance. Mais le droit français peine à trouver un point d’entente à l’égard de ce thème considéré comme « sensible ». En septembre 2020, une femme transgenre réclamait ainsi d’apparaître comme « mère » sur l’acte de naissance de son enfant. Devant cette requête, la Cour de cassation a rendu un verdict amer. Les membres expliquent avec des termes « biologisant » que cette femme ne peut être que le père. Ils ont donc exprimé leur refus. Pourtant, la principale concernée est enregistrée avec sa nouvelle identité depuis 2011 auprès de l’état civil. Les avocats dénoncent une décision « scandaleuse » et « abjecte ».

Fin juillet, la loi bioéthique a acté l’ouverture de la PMA aux femmes célibataires et aux couples de lesbiennes, mais interdit la procréation aux personnes transgenres après un changement de la mention du sexe à l’état civil. Sur le plan médical, des progrès considérables germent doucement. Avec la démocratisation de la greffe d’utérus, les femmes transgenres pourront enfin tomber enceintes. En février dernier, une autre nouvelle inédite insufflait un vent d’optimisme chez les personnes transgenres. Ali, homme transgenre, a été reconnu parent à la naissance de sa fille Salomé, avec son compagnon François. Une première en France. Mais pour l’heure, la case adoption reste la principale option pour assouvir son désir d’enfant. Cela n’empêche pas une personne trans-identitaire d’être parent.

« Les relations familiales sont forcément conflictuelles »

Franchir le cap de la parole et oser se livrer à ses parents sur sa trans-identité reste une étape compliquée. Bien souvent, père comme mère se trouvent totalement désarmés devant ces annonces. D’abord des questions telles que « À quoi va ressembler mon enfant ? » ou « Comment est-ce que je vais pouvoir l’accompagner ? » viennent répandre une vague d’angoisse.

Mais ce courageux coming-out ne donne pas toujours naissance à des débats acerbes. Le soutien des proches est plus qu’essentiel. Les statistiques le confirment : 57 % des jeunes trans dont les parents ont été rejetés font une tentative de suicide, contre 4 % des jeunes trans qui ont des parents qui les soutiennent. Heureusement, des outils bienveillants viennent épauler les parents déboussolés. C’est le cas du fascicule rédigé par l’organisme Wikitrans qui s’intitule « 10 idées reçues sur la transidentité« . En douceur, il guide les parents sur la route de l’acceptation.

Dans les abysses d’Instagram, Lexie alias aggressively_trans donne par exemple une belle claque aux idées préconçues. Les associations telles que OUTrans, Wikitrans ou encore En-Trans sont de véritables mines d’or pour dénicher des informations précieuses. Encore en 2024, les remarques dénigrantes persistent et un grand tabou résiste. S’enrichir est le meilleur moyen pour poser un regard plus juste sur la transidentité.

4 vestes à capuche pour la fraîcheur matinale qui persiste au printemps

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Le printemps est là, mais le vent frais des premières heures du matin peut toujours nous surprendre. C’est pourquoi une bonne veste à capuche est un indispensable de cette saison de transition. Nous avons sélectionné pour vous 4 vestes à capuche qui combinent style et fonctionnalité pour affronter ces fraîcheurs printanières.

Veste à capuche avec taille élastique khaki, Bershka

C’est un choix parfait pour affronter les matinées fraîches du printemps avec style et confort. Son design moderne en fait un incontournable pour toutes les tenues décontractées. Dotée d’une capuche pratique et d’une taille élastique, cette veste offre une coupe ajustée qui épouse harmonieusement les formes du corps tout en permettant une liberté de mouvement optimale. Sa couleur khaki intemporelle est craquante à souhait. Tandis que sa texture légère offre une protection contre les brises printanières sans vous alourdir.

Disponible du XS au L

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Veste zippée à capuche noire teddy bear, Boohoo

Avec son extérieur doux façon peluche, cette veste offre une chaleur douillette. Son zip pratique et sa capuche vous permettent de vous protéger du vent et des légères averses printanières, tout en restant parfaitement à la mode. De quoi rester confortable et stylé.e, peu importe les conditions météorologiques.

Disponible du 36 au 44

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Veste à capuche façon k-way noire, The North Face

Son design intemporel s’adapte à toutes les tenues. Tandis que sa conception légère et résistante à l’eau offre une protection contre les averses imprévues. Que ce soit pour une promenade matinale ou une escapade en plein air, cette veste vous assure confort et polyvalence tout au long de la journée. Soyez prêt.e à affronter les aléas de la météo sans compromettre votre style !

Disponible du 46/48 au 54/56

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Veste à capuche avec cordon de serrage, ONLY

Enfin, dotée d’un design plutôt élégant, cette veste offre un équilibre parfait entre style et praticité. Le cordon de serrage ajustable permet de personnaliser l’ajustement de la capuche pour un confort optimal. Un joli choix pour rester au chaud et à la mode pendant les journées fraîches du printemps.

Disponible du XS au XL

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Que vous soyez à la recherche d’une veste légère et polyvalente, d’une option élégante, d’une veste technique pour vos activités sportives ou bien encore d’une solution éco-friendly, il existe une veste à capuche adaptée à vos besoins printaniers. Vous pouvez affronter les fraîcheurs matinales du printemps en toute confiance, tout en restant stylé.e et confortable, quel que soit votre style de vie.

Partir en vacances avec son endométriose : nos conseils pratiques

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Les vacances représentent souvent un moment tant attendu pour se détendre, explorer de nouveaux horizons. Mais pour celleux qui vivent avec l’endométriose, planifier et profiter de ces moments peut être un défi de taille. En cette Journée mondiale contre l’endométriose, ce 28 mars, voici nos conseils pratiques pour vous aider à apprécier pleinement vos vacances avec votre endométriose.

Choisissez des destinations adaptées

Lors de la planification de vos vacances, tenez compte de votre état de santé et choisissez des destinations qui vous conviennent. Optez ainsi pour des endroits offrant un accès facile aux services médicaux au cas où vous auriez besoin d’une assistance.

Les destinations avec un climat doux peuvent également être bénéfiques pour soulager les douleurs associées à l’endométriose, ou du moins ne pas les aggraver. Les stations balnéaires ou les régions montagneuses paisibles peuvent aussi offrir un environnement propice à la détente et à la récupération.

Prévoyez des pauses régulières

Écoutez votre corps. Que ce soit pour faire des étirements ou simplement vous reposer, ces pauses peuvent vous aider à gérer la douleur et la fatigue.

Si vous voyagez en voiture, faites des arrêts fréquents pour vous dégourdir les jambes et vous détendre. Pour les longs trajets en avion, envisagez de réserver des sièges avec un espace supplémentaire pour plus de confort.

Faites vos bagages judicieusement

Lors de l’emballage de vos bagages, n’oubliez pas d’inclure tous les médicaments et articles de confort dont vous pourriez avoir besoin pendant votre voyage. Assurez-vous d’avoir suffisamment de médicaments pour toute la durée de votre séjour, ainsi que des analgésiques pour soulager la douleur en cas de besoin. N’oubliez pas d’emporter des articles apaisants tels que des coussins chauffants ou des huiles essentielles pour vous aider à vous détendre.

Communiquez ouvertement vos besoins

Que vous voyagiez avec des ami.e.s, des membres de votre famille ou encore votre partenaire, n’hésitez pas à communiquer ouvertement vos besoins et limites. Expliquez-leur les défis auxquels vous pourriez être confronté.e en raison de votre endométriose.

Et discutez des moyens de soutenir votre bien-être pendant le voyage. La communication ouverte et la compréhension mutuelle sont essentielles pour garantir que tout le monde puisse profiter pleinement de ses vacances.

Adoptez un rythme relaxant (si possible)

Évitez de surcharger votre emploi du temps avec des activités épuisantes et adoptez plutôt un rythme détendu. Privilégiez les activités douces comme la marche, la natation ou le yoga, qui peuvent aider à améliorer votre bien-être général. Accordez-vous le temps nécessaire pour vous reposer et récupérer, et ne vous sentez pas coupable de prendre du temps pour vous-même, même en vacances.

Soyez prêt.e à devoir faire des ajustements

Enfin, malgré une planification minutieuse, il est important d’être prêt.e à faire des ajustements en cours de route. Si vous vous sentez trop fatigué.e ou si la douleur devient trop intense, ne forcez pas et accordez-vous un repos supplémentaire. Soyez flexible dans vos plans, sans culpabiliser. Rappelez-vous que votre bien-être passent avant tout.

Partir en vacances avec l’endométriose peut présenter des défis, mais cela ne devrait pas vous empêcher de profiter pleinement de ces moments précieux. En suivant ces conseils pratiques, vous pouvez transformer votre voyage en une expérience revigorante. Que vos vacances soient remplies de détente, d’aventures et de souvenirs inoubliables !

8 bonnes raisons de manger du chocolat à Pâques (et toute l’année)

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Ah, le chocolat ! Juste le mot suffit à éveiller les papilles et à provoquer un sourire béat sur de nombreux visages. Sauf que depuis notre plus tendre enfance on nous serine qu’il ne faut « pas trop manger du chocolat car a fait grossir ». Et si on arrêtait de diaboliser certains aliments ? Au-delà de son goût exquis et de sa capacité à nous remonter le moral, le chocolat recèle une multitude de bienfaits pour notre santé et notre bien-être. Voici 8 bonnes raisons de manger du chocolat à Pâques (et toute l’année) !

Le chocolat, un remède contre le stress et l’anxiété

Imaginez-vous, une journée bien chargée, le stress qui monte… Et là, une bouchée de chocolat qui fond dans la bouche, libérant une vague de bonheur. Le chocolat est ainsi réputé pour ses propriétés anti-stress et anxiolytiques grâce à sa capacité à stimuler la production de sérotonine, l’hormone du bonheur, dans notre cerveau. Alors, la prochaine fois que vous vous sentez débordé.e, accordez-vous un moment de réconfort avec une délicieuse barre de chocolat.

Un boost d’énergie instantané

Besoin d’un coup de pouce pour affronter l’après-midi ? Le chocolat est là pour vous. Grâce à sa teneur en caféine et en théobromine, le chocolat noir en particulier peut vous donner un regain d’énergie bienvenu. Un petit carré de chocolat noir peut donc être une alternative saine et délicieuse à votre tasse de café habituelle.

Un allié pour le cœur

Oui, vous avez bien entendu ! Le chocolat peut aussi être bon pour votre cœur. Des études ont montré que la consommation modérée de chocolat noir est associée à une réduction du risque de maladies cardiovasculaires. Les antioxydants présents dans le chocolat noir aident à améliorer la santé des vaisseaux sanguins et à réduire l’inflammation, ce qui contribue à maintenir un cœur en bonne santé. Une des meilleures bonnes raisons de manger du chocolat au quotidien !

Amélioration des fonctions cognitives

Le chocolat n’est pas seulement un régal pour les papilles, il peut aussi nourrir votre cerveau. Des recherches suggèrent que la consommation régulière de chocolat noir est liée à une amélioration des fonctions cognitives, y compris la mémoire, l’attention et la concentration. Alors, la prochaine fois que vous révisez pour un examen ou que vous avez besoin de rester concentré.e au travail, pensez à ajouter un peu de chocolat noir à votre routine.

Un atout pour la peau

Vous cherchez une excuse pour déguster ce morceau de chocolat supplémentaire ? Eh bien, voici une bonne raison : le chocolat peut vous aider à obtenir une peau éclatante. Les antioxydants présents dans le chocolat noir aident à protéger la peau contre les dommages causés par les radicaux libres, ce qui peut aider à prévenir le vieillissement prématuré et à maintenir une peau saine et lumineuse.

Un coup de pouce pour l’humeur

Le chocolat n’est pas seulement délicieux, il peut aussi vous rendre plus heureux.ses ! En plus de stimuler la production de sérotonine, le chocolat contient en effet également des composés appelés phényléthylamine, qui sont associés à la sensation de bien-être et de bonheur. Alors, la prochaine fois que vous avez besoin d’un petit coup de pouce pour égayer votre journée, optez pour une douceur chocolatée.

Un réconfort en période de menstruations

Le chocolat peut être votre meilleur ami pendant ces moments difficiles du mois. Non seulement le chocolat est une source de réconfort bienvenue lorsque les hormones font des siennes, mais il peut également aider à soulager les crampes menstruelles grâce à ses propriétés relaxantes et analgésiques.

Manger du chocolat juste parce que c’est délicieux

Rares sont les personnes qui n’aiment pas le chocolat, et pour cause ! Quelle délicieuse sensation que de goûter un chocolat qui éveille nos papilles et nous procure des sensations gourmandes. Bien évidemment on ne vous conseille pas de manger une tablette de chocolat à chaque repas. Mais vous pouvez en consommer chaque jour raisonnablement sans culpabiliser. Ici nous parlons bien de vrai chocolat ; exit les versions industrielles « cracra » (Ferrero Rocher, Schoko-Bons, etc.).

Les bienfaits du chocolat vont bien au-delà de sa simple saveur. Il offre une multitude de raisons de se laisser tenter par une délicieuse bouchée. Alors, la prochaine fois que vous aurez envie d’une douceur, n’hésitez pas à opter pour le chocolat, votre corps et votre esprit vous en remercieront !

Comment développer votre sixième sens et muscler votre confiance ?

Avez-vous déjà ressenti ce frisson de prémonition, cette intuition qui vous guide dans vos choix ? C’est ce que l’on appelle souvent le sixième sens, une capacité mystérieuse que nous possédons tou.te.s mais que nous n’exploitons pas toujours pleinement. Et si nous vous disions que développer ce sixième sens peut non seulement vous aider à mieux naviguer dans la vie, mais aussi à renforcer votre confiance en vous-même ? Comment développer votre sixième sens et muscler votre confiance ? C’est ce que nous allons explorer dans cet article.

Explorer le territoire de l’intuition

L’intuition est comme une boussole intérieure qui nous guide dans les méandres de la vie quotidienne. Mais comment la développer ? Tout d’abord, il est essentiel de prendre du temps pour écouter cette petite voix intérieure. Trop souvent étouffée par le bruit du monde extérieur, notre intuition a besoin de silence et de calme pour se manifester pleinement.

Pratiquer la méditation et la pleine conscience peut être un excellent moyen de cultiver cet état d’esprit propice à l’écoute de notre intuition. En se recentrant sur le moment présent, en faisant taire le bavardage incessant de notre esprit, nous pouvons commencer à percevoir les murmures de notre sixième sens.

Faire confiance à ses instincts

Une fois que vous avez commencé à écouter votre intuition, il est crucial d’apprendre à lui faire confiance. Trop souvent, nous ignorons ces pressentiments subtils au profit de la logique pure et rationnelle. Mais ce que nous devons réaliser, c’est que notre intuition est le fruit de milliers d’années d’évolution. Une sagesse innée qui mérite d’être écoutée.

Faire confiance à ses instincts ne signifie pas pour autant agir de manière impulsive. Cela implique plutôt de prendre en compte ces sentiments intuitifs dans nos processus de prise de décision. Parfois, notre intuition peut nous guider vers des choix qui semblent irrationnels à première vue, mais qui s’avèrent être les meilleurs pour nous à long terme.

Cultiver l’ouverture d’esprit

Pour développer notre sixième sens, il est également essentiel de rester ouvert.e à de nouvelles expériences et perspectives. En élargissant nos horizons, en sortant de notre zone de confort, nous permettons à notre intuition de s’épanouir. Les voyages, la lecture, la rencontre de nouvelles personnes sont autant de moyens de nourrir cette faculté intuitive.

En étant ouvert.e d’esprit, nous devenons plus réceptif.ve.s aux signaux subtils que notre sixième sens nous envoie. Nous commençons à remarquer les schémas récurrents, les coïncidences significatives qui peuvent nous guider sur le chemin de la découverte de soi et de la croissance personnelle.

Renforcer la confiance en soi

Mais alors, comment développer notre sixième sens peut-il muscler notre confiance en nous-mêmes ? Eh bien, en apprenant à écouter notre intuition et à lui faire confiance, nous nous connectons à une source de sagesse intérieure qui renforce alors notre sentiment de confiance.

Lorsque nous suivons nos instincts et que cela nous mène vers des résultats positifs, cela renforce notre estime de soi. Nous réalisons que nous sommes capables de prendre des décisions éclairées et de naviguer avec succès dans les défis de la vie. Cette confiance en notre propre jugement devient alors un catalyseur puissant pour la réalisation de nos objectifs et aspirations.

Développer notre sixième sens et renforcer notre confiance en nous-même vont de pair. En écoutant notre intuition et en lui faisant confiance, nous pouvons accéder à une source de sagesse intérieure qui nous guide. Alors, n’oubliez pas d’écouter cette petite voix intérieure. Elle pourrait bien être votre meilleur allié sur le chemin de la réalisation de soi.

À qui convient un matelas 140×190 ?

Vous hésitez entre plusieurs formats de literie ? Parmi les dimensions les plus populaires, le matelas 140×190 s’impose par son standard compact et une faculté polyvalente d’adaptation. Quels sont les profils de personnes qui pourraient l’adopter comme accessoire de couchage ? Éléments de réponse dans cet article.

Le matelas 140×190, un best-seller de la literie

Dans les générations précédentes, le matelas 140×190 était une référence, notamment dans les milieux populaires. Les bourgeois préféraient un lit XXL, plus prestigieux et conforme à leur aisance matérielle. Les ouvriers se contentaient de couches plus modestes. Aujourd’hui, le côté pratique s’est substitué au marqueur social.

Vous déménagez dans un appartement dont la cage d’escalier est étroite ? L’aménagement d’un grand lit nécessiterait la location d’une grue. La solution serait d’adopter un sommier plus compact. Dans une petite chambre, installer un matelas 160×200 ne vous laissera que peu d’espace à vivre. La problématique est identique dans un studio dans lequel l’agencement de l’appartement doit être optimal afin de faciliter la circulation d’air.

Les célibataires

Dans l’espace urbain, la flambée des prix de l’immobilier a eu pour conséquence l’explosion de la location des petites surfaces. Les micro logements types studettes, studios, F1 et T1 hébergent étudiants, jeunes travailleurs, saisonniers… Ces personnes ont un profil commun, ils sont souvent célibataires. Compte tenu de leurs conditions d’hébergement, le matelas 140×190 est naturellement adapté. Cette couche est très confortable pour une seule personne. Les personnes s’y sentent davantage plus à l’aise que dans les literies de 120×190 ou 90×190.

Les célibattants

Le célibattant est un néologisme formé de la contraction des mots « célibataire » et « battant ». Il désigne le célibataire qui aspire à être en couple et qui se bat pour réunir les conditions favorables. Le sommier 140×190 est un atout non négligeable dans la conquête de l’âme-sœur, dans la mesure où il peut héberger aisément un couple. En revanche, si au moins une des deux personnes a un gabarit imposant, ce standard devient un peu juste. Cela doit amener à investir dans l’achat de literie de dimensions supérieures.

Les jeunes couples

Ils se sont rencontrés il y a peu de temps, se sont immédiatement plus et viennent d’aménager ensemble. Ils, ce sont les jeunes couples des grandes villes. Ces derniers n’ont pas toujours une situation financière stable, mais qu’importe ! Pourquoi se compliquer la vie, alors qu’on peut faire simple ?

Pour le premier lit conjugal, ils adoptent un matelas 140×190. Il fait chaud sous la couette en hiver. Les jeunes apprécient de dormir dans un cocon intime qui laisse peu d’espace de séparation. À la naissance du premier enfant, ils envisageront de déménager dans un appartement plus grand. Et par la même occasion, ils vont acquérir un lit plus imposant.

Les couples en quête de maxi confort

Le standard 140×190 offre une flexibilité d’utilisation polyvalente. Il n’est pas rare pour certains couples d’expérimenter un confort inédit. Cela consiste à disposer de deux sommiers 140×190 dans la chambre conjugale. Souvent, ils fusionnent les deux couches en un grand format XXL.

Mais, au sein des couples, les sujets de tension ne manquent pas. Madame est insomniaque et se contente d’à peine cinq heures de sommeil. Monsieur est un grand ronfleur. Voilà qui amène à envisager une autre expérience. Les deux lits sont séparés et chacun dort seul dans sa chambre. Cette solution est idéale, car l’endormissement de l’un n’empiète pas sur la qualité du sommeil de l’autre. Les câlins et les moments d’intimité ne sont pas en reste. Certaines nuits, de temps en temps, l’un des partenaires invite l’autre à partager sa couche et vice versa.

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7 astuces beauté inspirées de rituels ancestraux qui font du bien

Plongez dans un voyage à travers le temps ! Parfois, les secrets de beauté et de bien-être les plus précieux se cachent dans les traditions anciennes. Les rituels de beauté transmis de génération en génération sont non seulement empreints d’histoire, mais également imprégnés d’efficacité. Voici un aperçu de 7 astuces beauté inspirées de rituels ancestraux qui font du bien (liste non exhaustive).

Le bain de lait de Cléopâtre

La légendaire reine égyptienne Cléopâtre était réputée pour sa beauté légendaire. Et l’un de ses secrets les mieux gardés était son bain de lait. En mélangeant du lait frais avec du miel et des huiles essentielles, ce bain luxueux nourrit la peau en profondeur ; la laissant douce comme du velours. De plus, les acides lactiques présents dans le lait exfolient en douceur, révélant une peau radieuse.

L’huile d’argan marocaine

Originaire du Maroc, l’huile d’argan est un trésor de beauté utilisé depuis des siècles par les femmes berbères pour ses propriétés nourrissantes et régénérantes. Riche en acides gras essentiels et en vitamine E, cette huile précieuse hydrate la peau en profondeur et redonne de l’éclat aux cheveux ternes. Un massage quotidien avec de l’huile d’argan laisse ainsi la peau douce, souple et radieuse.

Le gommage au café d’Amérique du Sud

Les habitant.e.s des régions caféières d’Amérique du Sud ont depuis longtemps incorporé le marc de café dans leur rituel de beauté. Ce gommage naturel exfolie en douceur la peau et élimine les cellules mortes.

En mélangeant simplement du marc de café avec de l’huile d’amande douce ou du miel, vous obtenez ainsi un soin exfoliant qui laisse la peau incroyablement lisse et revitalisée.

Le masque au curcuma indien

Le curcuma, une épice essentielle de la cuisine indienne, est également un ingrédient de beauté remarquable. En mélangeant du curcuma avec du yaourt ou du miel, vous obtenez un masque naturel qui éclaircit le teint, réduit l’acné et apaise les peaux irritées.

Utilisé depuis des siècles dans les rituels de mariage indiens, ce masque laisse ainsi la peau lumineuse. L’une des astuces beauté inspirées de rituels ancestraux qui fait le plus grand bien à la peau !

L’art du bain japonais

Les Japonais.es ont perfectionné l’art du bain au fil des siècles, en le transformant en un rituel sacré de purification et de relaxation. L’ajout de poudre de riz ou de thé vert dans l’eau du bain est une pratique ancienne qui nourrit et adoucit la peau, tout en éliminant les impuretés.

De plus, l’utilisation de pierres de jade pour masser le visage stimule la circulation sanguine. Cela réduit les poches sous les yeux et procure une sensation de bien-être incomparable.

La méditation ayurvédique indienne

La beauté extérieure est souvent le reflet de l’équilibre intérieur. Et la méditation ayurvédique offre une approche holistique de la beauté et du bien-être. En pratiquant la méditation régulièrement, vous réduisez le stress, équilibrez les énergies du corps et favorisez un teint radieux. L’harmonie intérieure se manifeste à l’extérieur, faisant de la méditation un rituel de beauté indispensable.

Le bain de vapeur de la Grèce antique

Enfin, les anciens Grecs étaient réputés pour leur amour des bains de vapeur. Non seulement ils nettoyaient la peau en profondeur, mais favorisaient également la relaxation et la détente. En ajoutant des herbes aromatiques comme la lavande ou la menthe à l’eau chaude, vous créez un bain de vapeur apaisant qui purifie les pores, élimine les toxines et laisse la peau revitalisée.

Les rituels de beauté inspirés des traditions ancestrales nous rappellent que la véritable beauté vient de l’intérieur. Nous découvrons des astuces intemporelles qui nourrissent le corps, l’âme et l’esprit. Ces rituels ancestraux nous invitent à ralentir, à nous reconnecter avec nous-mêmes. Et à célébrer la beauté sous toutes ses formes.

9 films inspirés de faits réels qui vont vous clouer à votre canapé

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Les films ne sont pas toujours de purs produits de fiction ou le fruit d’un esprit débordant de créativité. Certains retranscrivent des histoires vraies, en y incorporant quelques enluminures narratives. Ils puisent leur source dans des coupures de journaux d’époque, des cold cases retentissants ou des anecdotes historiques enfouies pour se répercuter plus fort dans les yeux du public. Ces films inspirés de faits réels démultiplient les sensations au visionnage. Ils dressent les poils, nouent la gorge et humidifient les mains. Le simple bandeau « ce film est basé sur des faits réels » suffit à nous maintenir en haleine. Des grands classiques aux œuvres plus confidentielles, voici les films inspirés de faits réels qui vont vous scotcher. 

The Revenant

C’est un long métrage iconique qui a marqué son public. Ce film qui se tient dans un milieu hostile, sur les terres sauvages du Dakota du Sud, met en vedette Leonardo diCaprio dans le rôle d’un trappeur nommé Hugh Glass. Au gré d’une traque minutieuse en compagnie de ses collègues, il se fait attaquer par un ours et s’en tire avec de graves blessures. Ses acolytes, eux, l’ont lâchement abandonné, préférant le laisser pour mort plutôt que de le secourir. Doté d’un esprit de survie et d’une rage de vaincre, il décide de faire payer ceux qui l’ont trahi.

Il s’élance dans un périple de 320 kilomètres, fendant le blizzard, affaibli par ses plaies ouvertes. Malgré un froid polaire, des conditions de vie drastiques et des menaces terrestres permanentes, il tient le choc, galvanisé par sa femme et son fils. Cette histoire auréolée de trois Oscars n’est pas sortie de nulle part. Elle fait écho au vrai Hugh Glass, un explorateur emblématique des années 1800, dont le quotidien épique fait encore parler. Voilà un des films inspirés de faits réels qui jette un froid.

Lion

C’est un des films inspirés de faits réels qui a fait couler le plus de larmes. Ce drame biographique se regarde la tête dans un mouchoir et les yeux imbibés de sel. Il retrace le parcours tortueux de Saroo Brierley, un jeune indien adopté par une famille australienne, qui s’élance dans une quête identitaire complexe. Hanté par des souvenirs fragmentés et des éléments de décor qui lui sont lointains, il décide de renouer avec ses racines, sans trop savoir ou chercher.

Malgré quelques survols sur Google Earth, impossible de savoir d’où lui viennent ces images, qui habitent ses rêves. Complètement égaré, il trouve difficilement son itinéraire, là où le destin l’a arraché aux siens. Le vrai Saroo a perdu la trace de ses parents à 5 ans, en empruntant un train dont la destination finale était à l’opposé de son domicile.

L’Échange

L’intrigue de ce thriller haletant se tient dans l’Amérique des années 1920. Il gravite autour de Christine Collins, une mère dont le jeune fils de neuf ans a été enlevé à Los Angeles. Après une journée de travail acharné, elle rentre à la maison et s’aperçoit que Walter s’est mystérieusement volatilisé. La police, assez désinvestie, engage des recherches, sans succès jusqu’à ce qu’un garçon du même âge fasse son apparition. Elle prétend alors avoir trouvé l’enfant disparu.

Mais les espoirs de la maman redescendent aussi sec lorsqu’elle s’aperçoit que ce n’est pas son fils. Pourtant, les forces de l’ordre lui soutiennent le contraire et n’hésitent pas à la faire passer pour folle lorsqu’elle se montre un peu trop insistante. Christine mène alors sa propre enquête en parallèle pour percer la vérité à jour. Elle peut compter sur l’aide d’un révérend, qui est presque le seul à la croire. Si le scénario semble vraisemblable, il a pourtant eu lieu « in situ ». Un des films inspirés de faits réels dont vous ne ressortirez pas indemne.

Omar m’a tuer

C’est un des films inspirés de faits réels qui caracolent en tête du classement Netflix du moment. Et il est loin de démériter sa place. Ce drame relate une affaire judiciaire réelle qui a défrayé la chronique en France dans les années 1990. Il gravite autour d’Omar Raddad, un jardinier employé par une riche veuve dans la ville de Mougins sur la Côte d’Azur. Lorsque le corps sans vie de la propriétaire est retrouvé, les soupçons se portent directement sur l’homme d’origine marocaine.

Pour cause, la phrase « Omar m’a tuer » est gravée avec des lettres de sang sur les murs de la demeure. L’enquête n’a pas traîné et Omar a rapidement fini derrière les barreaux. Pourtant, cette résolution express n’a pas convaincu le grand public qui y voyait une forme de racisme rampante. Le titre du film, « Omar m’a tuer », est dérivé de la phrase trouvée sur les lieux du crime, mais avec une faute de grammaire apparente. C’est elle qui a suscité des interrogations et des théories sur l’identité du véritable meurtrier.

12 years a slave

Parmi les films inspirés de faits réels, certains permettent de ne pas oublier et font un vrai travail de mémoire. C’est le cas de « 12 years a slave » un film dramatique qui retourne l’estomac et broie le cœur. Il se repose sur l’autobiographie éponyme de Solomon Northup, un homme noir né libre, qui a été enlevé et réduit en esclavage aux États-Unis pendant douze ans.

Homme cultivé et violoniste de talent, Solomon finit dans une plantation de coton de Louisiane, asservi par des « maîtres » aux pratiques cruelles et brutales. Déshumanisé, humilié, bafoué, exploité jusqu’à la dernière goutte de sueurs, Solomon révèle une force mentale incroyable. Malgré toutes les atrocités qu’il subit, il garde espoir et lutte pour retrouver sa dignité. Une œuvre d’utilité publique dans laquelle la violence n’est pas surfaite ni artificielle.

Into the Wild

De nombreux films inspirés de faits réels puisent entre les pages des livres, comme le témoigne « Into the Wild », qui est d’abord né sous la plume Jon Krakauer. Il porte les projecteurs sur Christopher McCandless, un anticonformiste, qui peine à trouver sa place dans la société. Fraîchement diplômé, un avenir tout tracé s’offre à lui. Mais il préfère vagabonder en solitaire à travers son pays, les États-Unis, et se débarrasser de toutes ses possessions matérielles.

Ce qu’il veut, c’est une vie de nomade, loin des conventions et des règles préétablies. Un voyage initiatique qui va prendre une tournure plus tragique. Arrivé en Alaska, le marginal qui se faisait appeler « Alexander Supertramp », terminera sa route définitivement à cause d’une erreur fatale.

Les Affranchis

Plusieurs films mythiques sont inspirés de faits réels sans même que le public ne s’en doute. « Les Affranchis », de l’immense Martin Scorsese, en fait partie. Même si le scénario semble trop « hors norme » pour avoir eu lieu à une quelconque époque, il fait caisse de résonance avec le passé. Il retrace la véritable histoire de la mafia à travers les yeux du personnage principal, Henry Hill.

Ce jeune italo-américain aspire à monter en grade au sein de l’organisation criminelle et devenir une figure régnante du milieu. Pris sous l’aile de Paulie Cicero, le chef le plus redouté de la mafia, il entame sa carrière de ripoux à pleine vitesse. Vol, trafic de drogue, extorsion, il n’hésite pas à se salir les mains pour se faire bien voir. Il finit avec un beau palmarès d’infractions à son actif. C’est un des films de gangsters les plus salués par la critique.

The Impossible

Ce drame est déchirant. Il prend véritablement aux tripes et maintient le suspense jusqu’aux dernières minutes. Sorti en 2012 dans les salles obscures, c’est un des films inspirés de faits réels les plus crus et émouvants qui soit. Il traduit à l’écran, la puissance et la férocité des catastrophes naturelles. Il suit la famille Bennet, composée de Maria, Henry et leurs trois fils, qui fête Noël sur le sol thaïlandais.

Mais ce cadre paradisiaque se transforme en toile cauchemardesque lorsqu’un tsunami dévore la côte ouest du pays. La mer balaye les paysages et engloutit tout sur son passage tel un monstre affamé. La famille est séparée dans le tumulte. Chaque membre lutte pour survivre et se retrouver parmi les débris, les blessures et la confusion. L’atmosphère est lourde et traverse l’écran pour nous toucher en pleine face. Ce film fait également un bel hommage aux équipes de secours, sur le pied de guerre pendant cet épisode tragique.

Amityville : la maison du diable

Plusieurs films d’horreur se disent inspirés de faits réels, mais beaucoup se servent de cette mention pour éveiller l’effroi et décupler la peur. Cependant, « Amityville : la maison du diable », qui compose l’un des onze films de la saga, se nourrit d’une affaire sinistre survenue en 1974 dans la ville du même nom. L’intrigue prend place dans une maison cossue au lourd passé. Elle fut le théâtre d’une scène à en donner des haut-le-cœur.

Six membres d’une même famille ont été abattus de sang-froid par l’un des enfants, Ronald DeFeo Jr, pris dans une folie meurtrière. La maison est alors revendue à prix d’or. Les Lutz sautent sur l’opportunité, sans se douter du massacre collectif qui s’y est tenu. Pendant 28 jours, ils affirment avoir senti une présence démoniaque, ce que le film n’a pas manqué d’amplifier à l’écran.

Ces films inspirés de faits réels sont parfois romancés et s’autorisent quelques digressions sentimentales, mais ils sont d’une sensibilité palpable. 

Mettre un micro dans le doudou de son enfant : idée extrême ou mesure de précaution ?

Pour surveiller les agissements des nounous en catimini, certains parents décident de placer un mouchard dans le ventre de monsieur doudou. Une façon de garder une oreille tendue sur l’environnement de l’enfant, sans se faire repérer. Ces doudous-espions qui captent tous les sons l’air de rien permettent de déceler de potentiels signes de maltraitance. D’ailleurs, ce fut le cas récemment, dans la Somme. Grâce à ce petit gadget inséré au cœur de la peluche, les parents ont découvert avec effroi les violences verbales et physiques infligées par l’assistante maternelle à leur bout de chou de 2 ans. Elle a écopé de 18 mois de prison avec sursis. Mettre un micro dans le doudou de son enfant est parfois jugé excessif, mais cette infiltration à la 007 peut parfois révéler des abus imperceptibles. 

Micro dans le doudou de l’enfant, un précieux témoin

Confier son enfant à quelqu’un d’autre le temps d’une journée n’est pas une étape facile. Dès qu’ils le peuvent, les jeunes parents passent des coups de fil à la nounou pour prendre des nouvelles « au cas où ». Mais ces appels furtifs entre deux réunions ne délivrent pas beaucoup d’indices sur le bien-être de bébé. Alors dans le doute, certains parents glissent un micro dans le corps molletonné du doudou de l’enfant pour rester présents malgré la distance.

C’est ce qu’a fait Iris*, une maman originaire des Hauts-de-France qui avait des soupçons sur Sylvie, l’assistante maternelle de son fils de 2 ans. L’enfant changeait radicalement de comportements une fois arrivé devant la porte de sa gardienne. Sa joie de vivre s’éteignait instinctivement et l’enfant ressortait de cet endroit complètement « vide », presque « inanimé ». « C’était un enfant plein de vie et parfois, quand je venais le chercher, il était au sol, il ne faisait rien, il avait froid », confie la maman au média l’Éclaireur.

Des révélations assourdissantes

Les conversations captées grâce à ce doudou « sous couverture » l’ont littéralement mis à terre. La maman était loin de s’attendre à un tel déferlement de haine et de violence. « Mongol », « abruti », « Tu as déjà pris un jouet dans la gueule ? Tu as déjà pris la volée à la maison, maintenant, tu vas prendre un jouet ». Ces phrases entendues dans la bouche du conjoint de Sylvie ne sont qu’un petit échantillon de cette violence inouïe. L’enfant à peine doté de parole était le souffre-douleur de ces deux monstres déguisés.

À l’issue de l’audience, le procureur a dénoncé des propos « d’une gravité extrême ». « Vous avez déshumanisé un enfant placé sous votre protection », a poursuivi le juge. Au terme de la plaidoirie, l’assistante maternelle, en fonction depuis 17 ans, a écopé de 18 mois de prison avec sursis et son mari de 10 mois. Mettre un micro dans le doudou de son enfant n’est donc pas forcément une attitude « parano » ou une combine de parents surprotecteurs. Cette technique empruntée aux agents spéciaux permet d’enquêter sur le confort de son enfant, en secret.

Quand les enregistrements deviennent des pièces à conviction

Les histoires sordides vécues entre les murs des crèches ou dans les bras des nounous font régulièrement la Une de l’actualité. Enfants privés de sieste, nourris de force, laissés à l’abandon sur la cuvette des toilettes ou dans une flaque d’urine… ces scènes d’horreur n’émanent pas d’un film d’épouvante, mais d’un rapport publié l’an dernier par l’Inspection générale des affaires sociales (Igas). Il avait été commandité en urgence suite au décès d’un enfant de 11 mois dans une crèche privée de Lyon, qui s’est vu administrer une dose létale de produit caustique.

Gagnés par une méfiance légitime, les parents font de plus en plus le choix de mettre un micro dans le doudou de leur enfant. À juste titre. Plus pratique et compact qu’une caméra cachée, cet accessoire a avant tout une fonction « rassurante ». Le doudou prend alors l’étoffe d’une « taupe en mission » et permet aux parents de casser la distance. Ce micro peut renvoyer des éclats de rire qui soulagent comme il peut trahir des bavures ou une négligence. C’est là qu’il s’avère utile. De nombreuses affaires de maltraitance infantile ont été « prouvées » grâce à ce gadget, gobé par ce cher compagnon velouté.

Dans cette perspective, les enregistrements deviennent des éléments à charge et prennent une dimension irréfutable. En juin 2023, ils ont fait pencher la balance et donné du corps à un jugement. Lors d’une audience, le tribunal de Bourgoin Jallieu en Isère avait diffusé des extraits de 11 heures de bandes sonores, mémorisées grâce à un micro-espion. Elles retranscrivaient très nettement les humiliations et insultes proférées par une assistante maternelle envers deux enfants de deux ans. Mettre un micro dans le doudou de son enfant permet donc aussi d’obtenir justice en cas de sévices et d’éviter le parole contre parole.

Mais gare à l’usage que vous en faites

Mettre un micro dans le doudou de son enfant est une pratique qui a aussi ses limites. Si ce nounours à l’écoute est utilisé simplement pour voir l’envers du décor de la garde, c’est assez « raisonnable ». En revanche, si cet instrument à la James Bond devient un moyen détourné d’épier tous les faits et gestes de l’enfant, c’est plus problématique. Les parents ont alors l’écouteur communicant greffé à l’oreille pour ausculter tous les mots de l’enfant.

Or, surveiller les bambins à leur insu présage une relation « étouffante ». Ce dispositif, lorsqu’il surpasse la vie privée de l’enfant, donne l’impression que les parents planent sans cesse au-dessus de la tête de leur progéniture. Hormis entendre des débats faits de « pipi, caca » ou de percevoir un trafic de cartes de Pokemon, les parents ne risquent pas d’aller loin. En revanche, c’est là que démarre l’obsession. Ce micro est amené à évoluer en GPS mobile, puis en application de surveillance dans le téléphone et ainsi de suite. C’est un engrenage. Résultat, arrivé à l’adolescence, l’enfant se retrouve encore plus épié que la Joconde au Louvre.

Ce micro niché dans la poitrine du doudou de l’enfant est également susceptible de se faire hacker par des êtres malveillants. Les jouets connectés en font régulièrement les frais, preuve que ces objets sont faciles à contrôler et à « corrompre » virtuellement.

Que dit la loi sur cette pratique ?

C’est la question que tout le monde se pose. Mettre un micro dans le doudou de son enfant pourrait être perçu comme une atteinte à la vie privée et faire l’objet d’un délit. C’est d’ailleurs ce qui a conduit une nourrice à porter plainte en 2013, à Lyon. Elle était tombée sur un micro, rangé dans le gilet du doudou de l’enfant qu’elle gardait. Mais la justice ne lui a pas donné raison et a préféré faire valoir l’intérêt de l’enfant.

L’avocate des parents, elle, avait demandé au Parlement qu’il « légifère pour normaliser des systèmes de surveillance chez les assistantes maternelles ». Mais depuis ce verdict inédit, aucune loi supplémentaire n’a été créée. En revanche, selon l’article 226-1 du Code pénal la loi autorise le pouvoir de surveillance de l’employeur sur l’employé. À condition que l’audio ne soit pas diffusé publiquement et n’empiète pas sur la vie privée de la nounou.

Mettre un micro dans le doudou de son enfant paraît délirant pour certain.e.s tandis que pour d’autres c’est une évidence. Ce petit objet peut tout de même se faire l’écho d’anomalies ou de dangers. 

*Les prénoms ont été modifiés pour le respect d’autrui

9 façons de porter des tongs pour un été fashion

Longtemps reléguées au rang de simple accessoire de plage, les tongs se réinventent et s’invitent dans nos garde-robes estivales avec une touche d’élégance inattendue. Fini le temps où elles étaient synonymes de tenues négligées ; aujourd’hui, elles se parent de détails raffinés et s’associent à des looks aussi divers que sophistiqués.

Choisir le bon modèle de tongs pour une allure stylée

Les tongs fines pour un style épuré

Pour celles et ceux qui recherchent la subtilité, les tongs fines sont l’idéal. Elles incarnent la simplicité chic, surtout lorsqu’elles arborent des teintes beiges ou nudes. Leur discrétion est parfaite pour compléter un tailleur pantalon fluide, apportant une légèreté bienvenue tout en conservant une silhouette structurée.

Les tongs à talons : l’alliance du confort et de l’élégance

L’introduction du talon sur les tongs fut une révolution stylistique majeure. Les modèles à kitten heel transforment ces chaussures décontractées en pièces dignes d’une tenue de soirée. Portées avec une jupe longue satinée et un blazer « masculin », elles élèvent instantanément votre look.

Les tongs plates pour un retour aux années 2000

Nostalgiques des années 2000 ? Les tongs plates associées à un jean large taille basse sont faites pour vous. Elles rappellent cette époque avec justesse tout en restant dans l’air du temps grâce à leur simplicité intemporelle.

L’exubérance maîtrisée : oser la couleur

Cet été, laissez-vous séduire par des couleurs vives qui feront rayonner vos pieds sous le soleil. Une paire de tongs colorées peut servir de point focal à une tenue sobre ou venir dynamiser un ensemble monochrome. Imaginez l’éclat d’un vert tropical associé à un pantalon ample et un crop top discret – voilà comment créer un effet « waouh » sans effort.

La tong transformée : matières nobles et formes revisitées

Au revoir, caoutchouc bon marché ; bonjour, cuirs fins et découpes modernistes ! La métamorphose des tongs est palpable avec des matériaux haut de gamme qui viennent élever ce classique estival vers de nouveaux sommets d’élégance.

Laissez-vous guider par ces suggestions pour trouver la tong idéale qui complètera votre panoplie mode cet été. Qu’elle soit minimaliste ou audacieuse, elle a désormais sa place dans toutes les situations – du bureau jusqu’à la promenade en bord de mer.

Associer les tongs avec les différentes tenues estivales

Au travail ou en ville : la tong se fait chic

Qui a dit que les tongs ne pouvaient pas rimer avec professionnalisme ? Pour braver l’asphalte ou rejoindre votre espace de travail avec aisance, optez pour des tongs en cuir minimaliste. Associées à un pantalon de tailleur ample et une veste coordonnée, elles insufflent une dose d’originalité tout en préservant une allure soignée.

Les indispensables du bord de mer : simplicité et élégance

Pour flâner sur le sable fin ou déambuler sur la promenade, rien ne vaut une paire de tongs classiques. Leur atout ? La facilité avec laquelle elles se marient à un maillot échancré ou un paréo chatoyant. Sélectionnez un chapeau de paille stylé et vous voilà prêt.e pour savourer l’air marin avec panache.

Du pique-nique au festival : la tong décontractée

Lorsque détente rime avec convivialité, les tongs sont vos alliées idéales. Elles complètent à merveille un ensemble décontracté composé d’un short en jean et d’un haut fluide. Privilégiez des modèles aux teintes douces ou pastel pour apporter une touche de douceur estivale.

Festivités colorées : l’accord parfait entre accessoires et chaussures

Pour celleux qui souhaitent ajouter une pointe vibrante à leur look, rien ne surpasse des tongs colorées associées à des bijoux discrets comme un bracelet de cheville ou quelques bagues aux doigts de pied. Le contraste entre ces accessoires délicats et la vivacité des sandales crée une harmonie visuelle irrésistible.

Cet été, laissez-vous séduire par l’éventail infini des possibilités qu’offrent les tongs dans l’univers fashion estival. Quelles que soient vos activités ou vos envies stylistiques, il existe une paire capable d’exalter chaque tenue tout en garantissant votre confort durant les chaudes journées d’été.

7 astuces pour récupérer l’eau de pluie sur son balcon ou dans son jardin

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L’eau, source de vie par excellence, devient de plus en plus précieuse à mesure que les défis environnementaux s’intensifient. Dans cette quête de préservation des ressources, récupérer l’eau de pluie apparaît comme une pratique écologique et économique à la fois. Que vous possédiez un modeste balcon urbain ou un jardin luxuriant, il existe des astuces ingénieuses pour capturer et réutiliser cette précieuse ressource. Voici 7 astuces pour récupérer l’eau de pluie sur son balcon ou dans son jardin.

Avoir des récipients adaptés

Le premier pas vers une récupération efficace de l’eau de pluie consiste à choisir des récipients adaptés. Optez pour des cuves ou des barils résistants, de préférence en matériaux recyclés. Ils peuvent être placés discrètement sous un évier extérieur ou dans un coin du jardin/du balcon. Assurez-vous que les contenants choisis disposent d’un couvercle sécurisé pour éviter toute contamination par des débris ou des insectes.

Opter pour un système de collecte efficace

Pour maximiser la récupération de l’eau de pluie, un système de collecte efficace est essentiel. Placez donc des gouttières sur le toit pour diriger l’eau de pluie vers vos récipients. Vous pouvez également utiliser des descentes pluviales pour canaliser l’eau directement dans vos cuves. Veillez à ce que le système soit correctement installé et débarrassé de toute obstruction pour une efficacité optimale.

Ne pas oublier les filtres et préfiltres

Pour garantir la qualité de l’eau récupérée, l’utilisation de filtres et de préfiltres s’avère cruciale. Installez des grilles sur vos gouttières pour retenir les gros débris tels que les feuilles ou les branches. De plus, placez un préfiltre à l’entrée de vos cuves pour empêcher les particules fines de contaminer l’eau. Un système de filtration efficace garantit ainsi une eau propre et prête à être réutilisée.

Adopter des systèmes de stockage intelligents

Pour les petits espaces comme les balcons, les solutions de stockage intelligentes sont de mise. Optez pour des réservoirs verticaux ou des sacs de stockage souples qui peuvent être suspendus ou placés contre un mur. Ces options compactes vous permettent de maximiser l’utilisation de l’espace disponible tout en récupérant efficacement l’eau de pluie.

Réservoir vertical d’eau de pluie

Choisir des systèmes de surverse

Pour éviter tout débordement de vos cuves lors des fortes pluies, installez des systèmes de surverse. Ces dispositifs permettent à l’eau excédentaire de s’écouler en toute sécurité, évitant ainsi tout dommage potentiel à votre maison ou à votre jardin. Assurez-vous que les systèmes de surverse soient bien dimensionnés pour gérer les quantités d’eau les plus importantes.

Connaître l’utilisation polyvalente de l’eau de pluie

Une fois l’eau de pluie récupérée, les possibilités d’utilisation sont infinies. Arrosez vos plantes et votre jardin, remplissez les fontaines ou les bassins d’eau, et utilisez-la même pour le nettoyage extérieur. En réduisant votre dépendance à l’eau potable pour ces tâches, vous contribuez ainsi à préserver cette ressource vitale tout en réduisant votre empreinte environnementale.

Bonus : faire de la sensibilisation

Enfin, n’hésitez pas à partager vos connaissances avec vos voisin.e.s, vos ami.e.s, votre famille (etc.) pour encourager l’adoption de cette pratique écologique. Organisez pourquoi pas des ateliers ou des petits rassemblements dans votre quartier ou immeuble. Le but : expliquer les avantages de la récupération de l’eau de pluie et partager des conseils pratiques. Une belle action pour la Terre !

La récupération de l’eau de pluie représente une solution accessible à tou.te.s pour réduire notre empreinte hydrique. Alors, lancez-vous et faites en une habitude quotidienne !

Des robes à paillettes pour les grandes tailles

Que vous vous prépariez pour une soirée glamour, un événement spécial ou une occasion festive, il est temps de briller de mille feux avec des robes à paillettes spécialement conçues pour les grandes tailles. Les robes à paillettes ne sont plus réservées aux tailles dites standard, car les marques de mode ont compris l’importance de proposer des options éblouissantes pour toutes les morphologies. Dans cet article, nous allons explorer cette tendance scintillante et vous présenter une sélection de robes à paillettes qui mettront en valeur votre beauté et votre confiance, peu importe votre taille.

Éblouissez la foule avec des robes à paillettes pour les grandes tailles !

Les robes à paillettes ont toujours été synonymes de glamour et de style. Leurs reflets chatoyants accrochent la lumière et ajoutent une touche de magie à n’importe quelle tenue. Cependant, pendant longtemps, trouver des robes à paillettes dans des tailles plus grandes a été un véritable défi pour de nombreuses femmes. Heureusement, l’industrie de la mode évolue et aujourd’hui. Les robes à paillettes pour grandes tailles sont plus accessibles que jamais, offrant une multitude de choix élégants pour toutes les silhouettes.

Robe paillettes grises

Une célébration de la diversité corporelle

L’essor des vêtements grande taille témoigne d’une évolution positive de l’industrie de la mode. Les stylistes et les détaillants font désormais place à la diversité corporelle, reconnaissant que la beauté n’est pas limitée à une taille ou à une forme unique. Les robes à paillettes pour grandes tailles incarnent cette évolution. Elles célèbrent la diversité des silhouettes féminines et permettent à toutes les femmes de se sentir sûres d’elles et élégantes dans leurs tenues.

La magie des paillettes pour tous les types de corps

Il est temps de mettre de côté les idées préconçues selon lesquelles les robes à paillettes ne conviennent qu’aux silhouettes plus minces. Les paillettes peuvent ajouter une touche de glamour à n’importe quel type de corps. Que vous préfériez une robe longue et fluide ou une robe moulante, les paillettes peuvent sublimer vos courbes et vous faire briller de confiance.

Des styles pour toutes les occasions

Qu’il s’agisse d’une soirée formelle, d’un mariage ou même d’une simple sortie entre amis, il existe une multitude d’options de robes à paillettes pour les femmes aux formes généreuses. Les robes à paillettes longues offrent un look sophistiqué et glamour, parfait pour les galas ou les soirées prestigieuses. Les robes à paillettes mi-longues sont idéales pour des occasions plus décontractées, tout en conservant une touche d’éclat et d’élégance.

Robe blanche avec strass

Des coupes flatteuses

Les robes à paillettes pour grandes tailles ne sont pas seulement glamour, elles sont aussi conçues pour flatter la silhouette. Les coupes flatteuses, telles que les robes évasées, les robes empire et les robes portefeuille, mettent en valeur les courbes tout en offrant un confort optimal. Les détails de conception intelligents, tels que les ceintures à la taille, les décolletés en V et les manches élégantes, ajoutent une dimension supplémentaire de style et de sophistication.

Des matières confortables et de qualité

En plus d’être élégantes, les robes à paillettes pour grandes tailles sont également fabriquées dans des matières de haute qualité qui offrent un confort exceptionnel. Les tissus souples et extensibles épousent les courbes sans sacrifier le confort. Cela permet aux femmes de se sentir à l’aise et confiantes tout au long de la journée ou de la soirée. Les paillettes sont également fixées avec soin pour éviter les frottements et garantir un port durable.

Robe sequin verte

Brillez en toute occasion

Les robes à paillettes pour grandes tailles offrent une multitude de choix élégants et flatteurs pour les femmes de toutes formes et tailles. Que vous cherchiez une tenue pour une soirée spéciale ou simplement pour vous sentir glamour au quotidien, ces robes sont l’incarnation du style et de la confiance en soi. Alors n’hésitez pas à vous laisser séduire par l’éclat des paillettes et à briller en toute occasion !

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Bientôt une loi pour interdire la discrimination capillaire ?

Les critiques et réflexions déplacées autour des cheveux, en passe d’être punies ? C’est ce qu’espère le député Olivier Serva. Il viendra présenter sa proposition de loi contre la discrimination capillaire le jeudi 28 mars à l’Assemblée Nationale. Cette mesure s’appliquerait essentiellement à la sphère professionnelle, lieu où les cheveux sont régulièrement attaqués. Encore aujourd’hui, les femmes racisées sont gentiment invitées à lisser leur chevelure texturée, les blondes récoltent toujours l’étiquette de la « greluche » et les roux sont au cœur de jeux de mots pas franchement élogieux. Ces injures qui se déclinent de la racine aux pointes et qui mettent les complexes en bataille pourraient bientôt devenir un délit. Le député Olivier Serva s’est coiffé de cette idée, par ailleurs salutaire.

Que contient cette proposition de loi ?

La discrimination capillaire fait rage dans le milieu professionnel. Souvent dissimulée sous une épaisse frange d’humour ou derrière une pellicule de racisme, elle assiège de nombreuses têtes. Entre les cheveux crépus jugés trop « sauvage », les reflets auburn sujets aux vannes les plus médiocres de l’openspace et les chevelures blondes jamais traitées avec sérieux, la discrimination capillaire s’en prend à tous les crânes. Si pour l’heure, les victimes n’ont aucune arme juridique pour se soulever contre ces moqueries à rebrousse-poil du respect, elles pourraient bientôt avoir de quoi se défendre.

C’est en tout cas le combat que portera le député Olivier Serva à l’Assemblée nationale le 28 mars prochain. L’élu de Guadeloupe avait déposé une proposition de loi contre la discrimination capillaire en septembre dernier. Depuis, elle a fait un bout de chemin et s’apprête à franchir le seuil de l’hémicycle pour un vote décisif. L’homme politique, porte-parole du groupe Liot à l’Assemblée, n’a pas manqué d’arguments pour convaincre ses homologues. Il a notamment évoqué le sort des personnes aux cheveux texturés obligées de passer sous le fer à lisser, ou de s’asperger de produits défrisants pour faire bonne impression à un entretien d’embauche.

Il s’est plus particulièrement attardé sur les « afro-descendantes », qui doivent sans cesse renoncer à leur vraie nature capillaire et à une part de leur identité dans le cadre professionnel. « Le port du cheveu naturel que ce soit locks, torsades, tresses, afro, roux, blond, a un lien inéluctable avec l’estime de soi », a-t-il insisté. Cependant, pour l’heure, ce type d’attaques physiques n’est mentionné nulle part dans la loi française. Une lacune évidente que Olivier Serva aimerait combler. Comment ? En ajoutant la discrimination capillaire aux 25 motifs de discrimination déjà inscrits dans le Code du travail.

Une saga juridique chez Air France qui a servi de « déclencheur »

En 2005, un jeune employé de la compagnie aérienne tricolore Air France avait été mis à pied. Non pas pour faute grave ou mise en danger des passager.ère.s, mais pour une simple coupe de cheveux. Le steward arborait des tresses attachées en chignon. Une mise en forme capillaire que la compagnie avait jugé « contraire aux de règles de port de l’uniforme« . Pour conserver son poste, l’employé avait alors dû dissimuler ses vrais cheveux sous une perruque. Une humiliation ultime. Cette coiffure afro de la discorde avait fait suite à une saga juridique longue de dix ans.

Le steward avait saisi les Prud’Hommes en 2012 pour dénoncer une discrimination capillaire évidente. En effet, cette coupe de cheveux, qui a failli lui coûter sa place entre les sièges des avions, était autorisée pour le personnel féminin. C’est seulement en 2022 qu’il voit l’issue de cette épopée prud’homale et qu’il obtient enfin gain de cause. Cette affaire, très médiatisée, a largement interpellé Olivier Serva, qui voyait là un vaste Far West juridique. C’est pour éviter ce genre de scénario à rallonge et donner plus de force aux victimes qu’il souhaite interdire la discrimination capillaire, qui démange le monde professionnel jusqu’à l’os.

Une mesure sur le modèle américain CROWN Act

Outre-Atlantique aussi les cheveux sont au centre des discussions et s’emmêlent autour d’une mesure incisive baptisée CROWN act (pour « Creating a Respectful and Open World for Natural Hair »). Cette loi, en vigueur dans une vingtaine d’État, est sur le point de se généraliser et de s’étendre à tout le pays, sans exception. Elle vise à interdire la discrimination fondée sur les styles capillaires associées à une race ou une origine ethnique spécifique.

La Californie fait office d’élève modèle puisqu’elle applique fermement cette mesure depuis 2019. Ainsi, une personne qui se voit refuser de porter des tresses, des locks ou de laisser ses cheveux crépus en liberté peut donc saisir la justice. Ce CROWN act, qui crée une barrière protectrice autour des cheveux texturés, a servi de modèle à Olivier Serva. D’ailleurs, sur le fond, les deux textes se font écho. Mais le député ne s’en cache pas et il estime que la France a un train de retard sur le sujet.

La discrimination capillaire, un fléau qui existe aussi en France

Michelle Obama avait avoué se lisser les cheveux lors de son séjour entre les murs de la Maison-Blanche. Et l’ex-première dame n’est pas la seule à se défigurer ou à se travestir la chevelure pour être plus « crédible » dans son rôle. Selon une étude émanant d’une collaboration entre LinkedIn et Dove, 66 % des femmes noires changent de coiffure pour un entretien d’embauche. De l’autre côté du bureau, du point de vue des employeur.se.s, les cheveux des femmes noires sont « 2,5 fois plus susceptibles d’être perçus comme non professionnels« . Les femmes blondes, elles, sont 31 % à repeindre leurs cheveux en brun pour paraître « plus intelligentes ».

Des exemples criants sur la toile ou dans les archives

Si aux États-Unis, la discrimination capillaire est régulièrement dénoncée, en France elle peine à avoir la même attention. Elle n’a jamais été quantifiée. Pourtant, elle mène la vie dure à de nombreux cuirs chevelus. Il suffit de replonger dans des archives pour s’en rendre compte. Dans l’émission « Salut les terriens », Thierry Ardisson se permettait des blagues odieuses au détour de son interview de la comédienne Stefi Celma. « Pour se coiffer le matin, elle met les doigts dans la prise ». « Ils sont en quoi les cheveux là ? »… le tout au rythme de « Couleur café ». Ces phrases d’une grande bassesse intellectuelle (et raciste) font partie d’une longue liste du même acabit.

Sur les réseaux sociaux, certaines figures comme Kenza Bel Kenadil, s’attèlent à rendre visible cette discrimination de l’ombre. La jeune femme fait tomber les façades des entreprises et révèle ce qui se passe vraiment en interne. Dans une vidéo, elle expose les critiques capillaires auxquelles elle s’est heurtée durant un entretien. « C’est trop fouilli », « ça fait sale », « c’est négligé »… Autant de jugements qui tombent sur les cheveux et qui créent de gros nœuds dans la tête.

Cette mesure qui envisage de mieux punir la discrimination capillaire est un véritable pas en avant. Cependant, elle soulève quelques questions quant à sa viabilité. La discrimination capillaire risque d’être difficile à mettre en relief. Ce sera donc certainement la parole de la victime contre celle du/de la coupable, soit un énième épi juridique. 

Voici les astuces pour trouver les lunettes de soleil parfaites

Quand le soleil se montre, c’est le moment de sortir ses plus belles lunettes de soleil et de se parer d’un accessoire aussi indispensable que stylé. Mais protéger ses yeux avec style est tout un art ! Trouver la paire parfaite peut parfois relever du défi. Entre les différentes formes, les couleurs, les marques et les tendances, comment s’y retrouver dans ce vaste océan de choix ? Découvrez les secrets pour sélectionner les lunettes de soleil qui vous iront à ravir.

L’alliance du confort et d’une protection UV

La quête de la paire de lunettes de soleil idéale ne se limite pas à un choix esthétique ; elle s’ancre aussi dans une démarche de préservation de notre santé visuelle. En effet, il est crucial d’opter pour des verres offrant une protection UV à 100 %, afin de barrer la route aux rayons UVA et UVB nocifs. Ce bouclier invisible mais indispensable préserve vos yeux des effets délétères du soleil.

Style et sécurité oculaire

Les lunettes polarisées, par exemple, sont dotées d’une couche ou d’un film spécial qui filtre les ondes lumineuses indésirables. Cette technologie avancée permet non seulement d’éliminer l’éblouissement sur les surfaces réfléchissantes comme l’eau ou le bitume, mais aussi d’améliorer nettement votre perception des contrastes et des couleurs. Ainsi, elles constituent un allié précieux lors des activités extérieures où la clarté visuelle est primordiale.

Un confort inégalable pour chaque morphologie

Trouver le bon ajustement est essentiel pour garantir un confort optimal tout au long de la journée. Une monture bien choisie épouse naturellement les lignes du visage sans exercer de pression inutile sur le nez ou derrière les oreilles. Les branches doivent être suffisamment longues pour enserrer délicatement le crâne sans créer de points durs gênants.

Voici quelques éléments à considérer pour un confort personnalisé :

  • Taille du cadre : pour celleux ayant un visage plus large, il convient de privilégier des montures larges qui offrent une couverture adéquate et évitent toute sensation d’étroitesse.
  • Largeur du pont : des ponts plus larges ou avec plaquettes ajustables favorisent un meilleur positionnement et empêchent les marques désagréables sur le nez.
  • Longueur des branches : assurez-vous que celles-ci soient en harmonie avec votre morphologie pour éviter tout inconfort au niveau des oreilles.

N’oubliez pas que chaque visage est unique et mérite une attention particulière lors du choix des lunettes. C’est pourquoi explorer l’option d’un essai virtuel peut s’avérer judicieux avant l’achat ; cela vous donne une idée précise de l’apparence des différentes montures sur votre visage. Mais vous pouvez aussi aller en boutique pour être conseillé.e par des professionnel.le.s et avoir un aperçu concret.

Des lunettes selon la forme du visage et le style personnel

La recherche des lunettes de soleil adéquates est un périple où l’esthétique rencontre la personnalisation. Pour révéler votre style unique tout en valorisant les traits de votre visage, il est essentiel d’adopter une approche sur mesure. Cela commence par la reconnaissance des particularités de votre morphologie faciale et se poursuit avec le choix d’une monture qui non seulement vous plaît, mais qui sied également à votre silhouette.

Harmoniser monture et morphologie

Trouver l’équilibre parfait entre la forme de votre visage et celle de vos lunettes peut transformer radicalement votre allure. Une règle d’or souvent citée consiste à contraster la silhouette des lunettes avec celle du visage. Ainsi :

  • Pour un visage anguleux, les montures rondes ou ovales apportent douceur et équilibre.
  • Avec un visage rond, privilégiez les lignes géométriques pour affiner et allonger.
  • Si vous possédez un visage en forme de cœur, optez pour des lunettes évasées à la base pour contrebalancer la largeur du front.
  • Lorsque le front est plus étroit que la mâchoire, des formes accentuées sur le haut, comme les modèles aviateurs, rétablissent une harmonie visuelle.

Cultiver son propre style

Votre paire idéale doit aussi être le reflet de qui vous êtes. Que vous aspiriez à un look audacieux ou classique, chaque détail compte. La couleur, par exemple, joue un rôle prépondérant dans l’expression personnelle : les teintes profondes comme le bordeaux ou l’orange captivent l’attention sur des yeux bleus tandis qu’un cadre sombre élève les cheveux poivre et sel ou les iris clairs.

Mais n’oublions jamais que si respecter certaines normes peut être utile, notre confort personnel dans ce que nous portons prime avant tout. Après tout, porter des lunettes de soleil c’est aussi revendiquer sa propre vision du monde.

Les lunettes de soleil sont des alliées essentielles durant les beaux jours. Au delà d’un accessoire qui définit votre style, elles sont aussi une protection pour la santé de vos yeux. Laissez libre cours à votre imagination pour allier le confort et l’esthétique !

5 soins beauté avec du curcuma pour un teint lumineux

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Dans le vaste univers des soins beauté, il existe un ingrédient magique qui se démarque par son éclat doré et ses bienfaits étonnants pour la peau : le curcuma. Ce trésor de la nature, souvent associé à la cuisine et à ses arômes exotiques, révèle également ses pouvoirs dans le domaine de la beauté. Voici 5 soins avec du curcuma pour un teint lumineux, qui rayonnera de santé et de vitalité.

La puissance du curcuma

Avant de plonger dans nos idées de soins, arrêtons-nous un instant pour comprendre pourquoi le curcuma est un incontournable pour une peau éclatante. Originaire d’Asie du Sud, cette épice aux multiples facettes ne se contente pas de donner du goût à vos plats.

Son composant actif, la curcumine, est un puissant antioxydant aux propriétés anti-inflammatoires et antibactériennes. En cosmétique, le curcuma aide ainsi à réduire l’acné, à éclaircir les taches brunes, à apaiser les irritations et à stimuler la production de collagène pour une peau plus ferme et lumineuse.

Masque visage au curcuma et au miel

Commencez votre rituel de beauté avec ce masque facial simple, mais efficace. Mélangez une cuillère à soupe de poudre de curcuma avec une cuillère à soupe de miel brut. Appliquez cette mixture sur votre visage propre et laissez agir pendant 15 à 20 minutes.

Le miel hydratera votre peau. Tandis que le curcuma agira pour éclaircir le teint et réduire les boutons. Rincez à l’eau tiède et admirez votre peau éclatante.

Gommage corporel au curcuma et au sucre

Offrez à votre peau un gommage revitalisant en combinant une demi-tasse de sucre avec une cuillère à soupe d’huile de coco et une cuillère à café de curcuma en poudre. Massez doucement ce mélange sur votre corps par mouvements circulaires avant de prendre votre douche.

Le sucre éliminera les cellules mortes. Tandis que le curcuma et l’huile de coco hydrateront et nourriront votre peau en profondeur, la laissant douce et radieuse.

Toner au curcuma et à l’eau de rose

Après le nettoyage de votre visage, tonifiez votre peau avec ce toner rafraîchissant. Dans un flacon spray, mélangez une tasse d’eau de rose avec une cuillère à café de vinaigre de cidre de pomme et une demi-cuillère à café de curcuma en poudre. Agitez bien avant chaque utilisation et vaporisez sur votre visage en évitant le contour des yeux.

Ce toner équilibrera le pH de votre peau, réduira l’apparence des pores et illuminera votre teint.

Crème de nuit au curcuma et à l’aloe vera

Pendant que vous dormez, laissez cette crème de nuit nourrissante faire des merveilles pour votre peau. Mélangez une cuillère à soupe de gel d’aloe vera frais avec une demi-cuillère à café de curcuma en poudre. Appliquez cette crème légère sur votre visage et votre cou avant de vous coucher.

L’aloe vera apaisera les inflammations. Tandis que le curcuma agira pour réparer et régénérer votre peau, vous réveillant avec un teint frais et radieux.

Infusion de curcuma

Les bienfaits du curcuma ne se limitent pas seulement à une application topique. En consommant régulièrement du curcuma sous forme d’infusion, vous pouvez améliorer la santé de votre peau de l’intérieur. Pour préparer une infusion de curcuma, faites bouillir de l’eau et ajoutez une cuillère à café de curcuma en poudre.

Laissez infuser pendant quelques minutes, puis filtrez et ajoutez un peu de miel, ou du sirop d’agave ou du citron pour rehausser la saveur. Cette boisson délicieusement épicée favorisera un teint éclatant.

Le curcuma ne cesse de nous étonner par ses multiples bienfaits pour la peau. Que ce soit sous forme de masque, de gommage, de toner ou encore de crème, cette épice vous aidera à obtenir un teint rayonnant. Alors, laissez la magie du curcuma transformer votre routine de soins !

3 recettes pour intégrer les fruits de saison à vos assiettes

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Le printemps est synonyme de renouveau, et cela se reflète dans nos choix culinaires. Les salades printanières s’imposent comme la quintessence de cette métamorphose, mêlant couleurs éclatantes et saveurs délicates. Elles incarnent la transition parfaite vers une alimentation plus légère et en harmonie avec la saison.

L’art de marier les fruits d’avril dans une salade salée

Imaginez une assiette où se côtoient l’onctuosité de l’avocat, le croquant des épinards frais et la douceur des fraises sucrées. Cette association n’est pas seulement un régal pour les papilles mais aussi un festin pour les yeux. Pour donner à ces créations une dimension encore plus exotique, pensez à y ajouter des tranches de kiwi, qui apporteront une note acidulée bienvenue.

Voici quelques idées pour composer votre salade de fruits d’avril :

  1. Disposez généreusement des feuilles d’épinards frais au fond de votre plat ;
  2. Ajoutez-y des tranches d’avocat mûr pour leur onctuosité incomparable ;
  3. Répartissez ensuite les fraises coupées en quartiers pour un contraste coloré saisissant ;
  4. Pour un supplément de gourmandise, incorporez des morceaux de pomme verte pour leur texture juteuse et croquante ;
  5. Terminez par une vinaigrette maison à base de jus de citron ou d’orange pressée pour exalter toutes ces saveurs sans alourdir votre salade.

L’indémodable salade de fruits sucrées

Cette salade met en avant les fruits disponibles au printemps comme les fraises, les framboises, et les kiwis, en leur donnant un coup de peps avec un sirop léger à la menthe.

  1. Lavez les fraises et les framboises délicatement sous l’eau froide. Équeutez les fraises et coupez-les en deux ou en quatre selon leur taille. Épluchez les kiwis et coupez-les en rondelles, puis en quatre.
  2. Dans un petit bol, mélangez le jus de citron et le miel. Ciselez finement les feuilles de menthe. Incorporez les herbes au mélange de citron et miel. Remuez bien pour que le miel se dissolve complètement.
  3. Placez les fruits dans un grand saladier. Versez le sirop à la menthe sur les fruits et mélangez délicatement pour bien enrober les fruits.
  4. Laissez reposer la salade de fruits au réfrigérateur pendant au moins 30 minutes avant de servir. Cela permet aux saveurs de bien se mélanger et aux fruits de s’imprégner du sirop.

Le sucré de la compote de saison

Pour savourer les saveurs du printemps, une compote de fruits mêlant pommes, rhubarbe et fraises est parfaite. Une recette simple et délicieuse qui met en valeur les fruits de saison.

  1. Commencez par peler les pommes et les couper en petits morceaux. Lavez la rhubarbe et coupez-la en tronçons d’environ 1 cm. Lavez les fraises et coupez-les en quatre.
  2. Dans une grande casserole, ajoutez les morceaux de pomme, la rhubarbe, et le sucre. Ajoutez un fond d’eau ou de jus de pomme pour éviter que les fruits n’accrochent au début de la cuisson. Si vous utilisez une gousse de vanille, fendez-la en deux, grattez les graines et ajoutez-les à la casserole avec la gousse. Si non, ajoutez l’extrait de vanille. Laissez cuire à feu moyen en remuant de temps en temps.
  3. Après environ 10 minutes, quand les pommes et la rhubarbe commencent à s’attendrir, ajoutez les fraises et le jus de citron. Continuez la cuisson pour encore 5 à 10 minutes, jusqu’à ce que tous les fruits soient tendres. Si vous préfèrez une compote avec des morceaux, arrêtez la cuisson plus tôt. Pour une compote plus lisse, prolongez la.
  4. Une fois que les fruits sont cuits à votre goût, retirez la gousse de vanille (si utilisée) et écrasez les fruits à la fourchette pour obtenir la consistance désirée. Vous pouvez aussi utiliser un mixeur plongeant pour une compote bien lisse.
  5. Laissez refroidir la compote avant de la servir. Elle peut être consommée froide ou tiède, selon les préférences !

Cette compote est délicieuse seule, mais elle peut également accompagner du yaourt nature, du fromage blanc, ou être servie en garniture pour des crêpes ou du pain perdu. Elle se conserve plusieurs jours au réfrigérateur dans un contenant hermétique.

Ces recettes permettent d’accueillir les beaux jours et de mettre en avant les fruits naturellement à votre disposition !

Qu’est-ce que « la fatigue de printemps », ce phénomène saisonnier qui vous concerne peut-être ?

Le printemps, avec ses journées qui s’allongent et ses températures plus douces, est souvent associé à une période de renouveau. Toutefois, l’arrivée de cette saison peut aussi s’accompagner d’un sentiment de fatigue persistante et parfois déconcertante, connue sous le nom de : fatigue de printemps. Mais qu’est-ce exactement que ce phénomène saisonnier ? Et pourquoi affecte-t-il certaines personnes ? Éclairage.

Comprendre la fatigue de printemps

La fatigue de printemps est un phénomène qui se manifeste par une sensation générale de fatigue, de léthargie. Et parfois même de dépression pendant les premières semaines du printemps. Bien que cela puisse sembler contradictoire avec l’idée de renouveau printanier, de nombreuses personnes ressentent cette fatigue de manière très réelle et parfois handicapante.

Ce phénomène est souvent attribué à plusieurs facteurs combinés. Tout d’abord, le changement d’heure qui accompagne le début du printemps. Ce dernier peut perturber les rythmes circadiens naturels de l’organisme, entraînant alors des troubles du sommeil et donc une sensation de fatigue accrue. De plus, la variation de la lumière du jour peut affecter la production de mélatonine. L’hormone du sommeil, ce qui peut également contribuer à la fatigue et à la somnolence diurne.

Les causes sous-jacentes

Au-delà des perturbations des rythmes circadiens et de la production d’hormones, il existe plusieurs autres facteurs qui peuvent contribuer à la fatigue de printemps. L’un des principaux coupables est souvent le changement de saison lui-même. Après des mois d’hiver sombres et froids, le corps peut avoir du mal à s’adapter aux températures plus chaudes et à la hausse de l’activité extérieure. De plus, le pollen qui accompagne souvent le printemps peut déclencher des allergies saisonnières chez certaines personnes. Cela peut entraîner une fatigue supplémentaire.

En outre, le printemps est souvent synonyme de période chargée sur le plan social et professionnel. Avec l’arrivée du beau temps, les obligations sociales et les activités de plein air se multiplient. Cela peut entraîner une surcharge de travail et de stress pour certaines personnes. Cette accumulation de responsabilités peut alors rapidement épuiser les réserves d’énergie déjà diminuées par les autres facteurs de la fatigue de printemps.

Gérer la fatigue de printemps

Heureusement, il existe plusieurs stratégies que l’on peut adopter pour atténuer les effets de la fatigue de printemps. Tout d’abord, il est important de maintenir des habitudes de sommeil saines en veillant à ce que vous obteniez suffisamment de repos chaque nuit. Cela peut inclure la mise en place d’une routine de sommeil régulière et la création d’un environnement propice au repos, avec une chambre sombre, calme et fraîche.

Optez aussi pour des aliments riches en nutriments et en énergie, comme les fruits et légumes frais, les grains entiers et les protéines maigres. Évitez les aliments transformés et riches en sucres ajoutés. Ces derniers peuvent entraîner des pics d’énergie suivis de baisses brutales.

L’exercice régulier peut également être bénéfique pour lutter contre la fatigue de printemps. L’activité physique aide en effet à stimuler la circulation sanguine, à renforcer le système immunitaire et à libérer des endorphines, les hormones du bien-être. Si vous êtes concerné.e par la fatigue de printemps, essayez de trouver des activités que vous appréciez. La marche, le vélo ou le yoga par exemple, et intégrez-les régulièrement dans votre routine.

Enfin, ne sous-estimez pas l’importance de la gestion du stress et de la relaxation. Trouvez des moyens de vous détendre et de vous ressourcer. Que ce soit en méditant, en pratiquant des techniques de respiration profonde. Ou simplement en passant du temps dans la nature. Prenez d’ailleurs aussi le temps de vous déconnecter des écrans et des sources de stimulation excessive. Surtout avant le coucher, pour favoriser un sommeil réparateur.

La fatigue de printemps est un phénomène saisonnier courant qui peut affecter le bien-être de nombreuses personnes au début de la saison. Bien qu’elle puisse être déconcertante, elle peut être gérée. Vous pouvez retrouver votre vitalité et profiter pleinement des joies du printemps !

Voici le voyage qui serait idéal selon votre signe astrologique

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Au moment de planifier nos vacances, nous cherchons le voyage parfait, celui qui résonne avec notre être intérieur et éveille notre curiosité. Et si nous vous disions que votre signe astrologique pourrait jouer un rôle crucial dans la détermination de ce voyage idéal ? L’astrologie, cette ancienne discipline qui étudie l’influence des astres sur nos vies, pourrait également nous guider dans nos choix de destinations. Découvrez le voyage qui serait idéal selon votre signe astrologique.

Bélier : l’aventure intrépide en plein air

Pour le Bélier, impulsif et passionné, le voyage idéal est une aventure intrépide en plein air. Les destinations qui offrent des activités comme le trekking dans les montagnes, le rafting dans les rapides tumultueux ou même un safari dans la savane africaine correspondent ainsi parfaitement à leur énergie débordante et à leur soif d’adrénaline. Les parcs nationaux, les régions sauvages et les destinations exotiques stimuleront leur esprit aventureux et les aideront à se connecter avec la nature.

Taureau : la retraite dans un cadre pittoresque

Le Taureau apprécie le luxe et le confort, mais aussi la beauté de la nature. Pour eux, le voyage idéal est une retraite luxueuse dans un cadre pittoresque. Des destinations comme les îles paradisiaques des Maldives, les villages pittoresques de la Toscane ou les complexes hôteliers de renom dans les Caraïbes seront ainsi leur havre de paix. Ils pourront se détendre, savourer des mets exquis et se ressourcer au cœur de paysages enchanteurs.

Gémeaux : l’exploration culturelle et sociale

Pour les Gémeaux, curieux et sociables, le voyage idéal est une exploration culturelle et sociale. Les villes cosmopolites comme New York, Paris ou Tokyo, où l’art, la musique et la diversité règnent en maître, seront ainsi leur terrain de jeu. Ils pourront se mêler aux habitant.e.s locaux.ales, découvrir de nouvelles cultures, assister à des événements artistiques et élargir leurs horizons.

Cancer : le voyage nostalgique en famille

Le Cancer, sensible et attaché à sa famille, recherche avant tout le confort et la familiarité. Pour eux, le voyage idéal est une escapade nostalgique en famille. Retourner dans le lieu de leur enfance, organiser un séjour dans un chalet au bord d’un lac. Ou simplement passer du temps de qualité avec leurs proches dans un endroit chaleureux et accueillant seront ainsi des expériences inestimables pour nourrir leur âme.

Lion : l’évasion vers des destinations exclusives

Le Lion aime briller et être au centre de l’attention. Pour eux, le voyage idéal est une évasion royale vers des destinations exclusives. Des endroits comme Monaco, Saint-Tropez ou les palais de l’Inde leur permettront ainsi de se sentir comme des rois et des reines. Ils pourront profiter de l’opulence, du glamour et de l’extravagance tout en s’immergeant dans des cultures riches et fascinantes.

Vierge : le voyage axé sur la santé et le bien-être

Pour la Vierge, pragmatique et soucieuse de sa santé, le voyage idéal est axé sur le bien-être et la santé. Des destinations comme Bali, où le yoga et la méditation sont à l’honneur. Ou des retraites de bien-être dans des endroits reculés offriront ainsi à la Vierge l’occasion de se ressourcer, de se détendre et de revitaliser son esprit, son corps et son âme.

Balance : l’expérience culturelle équilibrée

La Balance recherche l’harmonie et l’équilibre dans tout ce qu’elle fait. Pour elle, le voyage idéal est une expérience culturelle équilibrée. Des villes comme Rome, où l’histoire et l’art se mêlent harmonieusement. Ou des destinations comme le Japon, où tradition et modernité cohabitent, seront ainsi parfaites pour satisfaire leur désir d’équilibre et d’esthétique.

Scorpion : l’exploration mystérieuse et envoûtante

Le Scorpion est attiré par le mystère et l’intensité. Pour eux, le voyage idéal est une exploration mystérieuse et envoûtante. Des destinations comme l’Égypte, avec ses pyramides anciennes et son aura de mystère. Ou l’Amazonie, avec sa jungle dense et sa faune fascinante, seront ainsi des terrains de jeu parfaits pour nourrir leur esprit intrépide et leur soif de découverte.

Sagittaire : l’aventure épique à travers le monde

Le Sagittaire est un explorateur né, toujours en quête de nouvelles expériences et de nouveaux horizons. Pour eux, le voyage idéal est une aventure épique à travers le monde. Des destinations lointaines comme l’Inde, le Pérou ou la Nouvelle-Zélande, où l’aventure est au coin de chaque rue, seront ainsi des terrains de jeu parfaits pour nourrir leur esprit libre et leur soif d’aventure.

Capricorne : le voyage axé sur l’accomplissement

Le Capricorne est ambitieux et déterminé à réussir dans tout ce qu’il entreprend. Pour eux, le voyage idéal est axé sur la réussite et l’accomplissement. Des destinations urbaines comme Londres, New York ou Hong Kong, où le dynamisme et l’ambition sont palpables, seront ainsi des terrains de jeu parfaits pour nourrir leur esprit entrepreneur et les inspirer à atteindre de nouveaux sommets.

Verseau : l’aventure excentrique

Le Verseau est unique et original, toujours en quête de l’extraordinaire. Pour eux, le voyage idéal est une aventure excentrique et avant-gardiste. Des destinations alternatives comme Berlin, où l’art et la culture alternative fleurissent. Ou les festivals de Burning Man dans le désert du Nevada, seront ainsi des terrains de jeu parfaits pour nourrir leur esprit innovant et non conventionnel.

Poissons : l’évasion romantique

Le Poissons est un rêveur romantique, toujours en quête de magie et de romance. Pour eux, le voyage idéal est une évasion romantique vers des destinations oniriques. Des endroits comme Venise, Paris ou les îles grecques, où l’amour est dans l’air et la beauté est partout, seront ainsi des terrains de jeu parfaits pour nourrir leur âme romantique et les transporter dans un monde de rêve et de fantaisie.

Que vous soyez un Bélier intrépide ou encore un Gémeaux curieux, il existe un voyage idéal qui correspond à votre signe astrologique. Laissez-vous guider par les étoiles et partez à la découverte de nouvelles aventures !

7 leçons de vie que les seniors peuvent nous enseigner

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Dans un monde où les tendances évoluent à la vitesse de la lumière, il est facile d’oublier les trésors de sagesse que nos aîné.e.s détiennent. Les seniors, avec leurs rides comme des cartes du passé et leurs yeux pétillants d’expérience, sont des bibliothèques vivantes regorgeant de leçons précieuses sur la vie. Voici 7 leçons de vie que les seniors peuvent nous enseigner.

La patience est une vertu

Dans un monde où tout semble exiger une réponse instantanée, nos aîné.e.s nous rappellent l’importance de la patience. Iels ont traversé des époques où l’attente était la norme, où les gratifications n’étaient pas immédiates. Leur capacité à attendre avec grâce et persévérance nous enseigne que parfois, les meilleures choses dans la vie nécessitent du temps et de la patience.

L’importance de l’écoute

Les seniors sont des maîtres.ses dans l’art de l’écoute. Leurs oreilles ont entendu des histoires incroyables, des joies ineffables et des peines indicibles. En prêtant une oreille attentive à leurs récits, nous apprenons que chaque voix a une histoire à raconter et que chaque expérience est précieuse. L’écoute active nous permet de comprendre les autres et de tisser des liens profonds qui transcendent les générations.

La résilience face à l’adversité

Nos aîné.e.s ont vécu des temps difficiles, des guerres aux récessions économiques, des pertes personnelles aux maladies. Pourtant, malgré les tempêtes qu’iels ont affrontées, iels ont trouvé le courage de se relever à chaque fois. Leur résilience est une leçon vivante sur la capacité humaine à surmonter les obstacles et à trouver de l’espoir même dans les moments les plus sombres.

Vivre dans l’instant présent

Ayant parcouru un long chemin parsemé d’expériences variées, nos aîné.e.s comprennent l’importance de savourer chaque instant. Iels savent que la vie est une série de moments précieux qui méritent d’être vécus pleinement. Leur capacité à ralentir, à savourer les petits plaisirs et à apprécier la beauté qui les entoure nous rappelle que la véritable richesse réside dans les moments simples de la vie.

Cultiver les relations authentiques, même à distance

Dans un monde numérique où les interactions se font souvent à travers des écrans, les seniors nous rappellent l’importance des relations authentiques. Iels ont tissé des liens solides avec celleux qui les entourent. Nourrissant des amitiés qui durent toute une vie et des amours qui défient le temps. Leur exemple nous encourage à investir dans des relations significatives, même à distance. Et à chérir chaque moment passé avec celleux que nous aimons.

La sagesse de l’humilité

Les seniors ont acquis une sagesse profonde au fil des ans, mais iels portent cette connaissance avec humilité. Iels comprennent que personne ne détient toute la vérité et que chaque individu.e a quelque chose à offrir. Leur humilité nous enseigne l’importance de rester ouvert.e.s à l’apprentissage continu et de reconnaître la valeur intrinsèque de chaque être humain.

Pratiquer la gratitude

Enfin, nos aîné.e.s ont vu le monde changer sous leurs yeux. Mais malgré les défis et les pertes, iels ont maintenu une attitude de gratitude. Iels savent que chaque jour est un cadeau et que même dans les moments les plus sombres, il y a toujours quelque chose à apprécier. Leur pratique quotidienne de la gratitude nous invite à reconnaître les bénédictions qui parsèment notre propre chemin.

Les seniors sont des guides précieux pour le présent et l’avenir. Leurs leçons de vie transcendent les frontières du temps, nous rappelant les valeurs intemporelles qui enrichissent notre existence.

13 livres à découvrir où les femmes sont au premier plan

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À travers les pages des livres, nous pouvons rencontrer des personnages qui nous inspirent, nous questionnent et nous font réfléchir. De nombreux.ses auteur.e.s ont donné vie à des personnages féminins dont les histoires résonnent longtemps après que la dernière page a été tournée. Voici 13 livres à découvrir où les femmes sont au premier plan.

« Les femmes n’ont pas d’histoire », par Amy Jo Burns

C’est un roman captivant qui met en lumière la puissance et la complexité des histoires féminines. L’auteure explore en effet la vie de plusieurs femmes de la petite ville de Mercury, en Pennsylvanie, en juxtaposant les époques et les voix. Amy Jo Burns tisse ainsi avec brio les récits de ces femmes.

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« (Dés)enchantées – un conte de fée-ministes », par Moderna de Pueblo

Dans l’univers de la littérature contemporaine, cet ouvrage brille comme un exemple remarquable de la réinvention des contes de fées classiques. Il déconstruit les stéréotypes de genre ancrés depuis des siècles en revisitant les contes de fées emblématiques avec une touche moderne et féministe.

Les héroïnes sont ici des femmes indépendantes, complexes et résolues à prendre leur destin en main. Le but ? Offrir une réflexion sur l’autonomie et l’émancipation des femmes. Ces dernières ont en elles la capacité à se forger leur propre chemin, même dans un monde souvent (dés)enchanté, c’est dit !

« Jane Eyre », par Charlotte Brontë

Voici un classique intemporel de la littérature anglaise. Ce roman raconte l’histoire de Jane, une orpheline maltraitée qui devient gouvernante et tombe amoureuse de son employeur, M. Rochester. Mais, ce n’est pas une histoire d’amour ordinaire.

Jane est un personnage féminin fort et indépendant, déterminé à suivre sa propre voie malgré les obstacles qui se dressent devant elle. Elle incarne ainsi la résilience, l’intelligence et la dignité. Son histoire reflète les luttes et les triomphes des femmes de l’époque victorienne.

« Hunger Games », par Suzanne Collins

L’histoire se déroule dans un futur sombre et totalitaire où une jeune héroïne, Katniss Everdeen (l’actrice Jennifer Lawrence dans les films éponymes), devient le symbole de la résistance contre un régime oppressif.

Ce roman a captivé des millions de lecteur.rice.s à travers le monde en mettant en scène une protagoniste féminine forte, intelligente et déterminée. Elle remet en question l’injustice de la société dans laquelle elle vit.

« Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur », par Harper Lee

Dans cette œuvre magistrale, Scout Finch, une jeune fille curieuse, nous guide à travers les complexités du racisme et de la justice sociale dans le sud des États-Unis pendant les années 1930. Son innocence et sa compassion illuminent cette histoire inoubliable.

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« Orgueil et Préjugés », par Jane Austen

C’est un classique de la littérature. Publié pour la première fois en 1813, ce roman nous transporte dans l’Angleterre du début du XIXe siècle, où les mariages arrangés étaient monnaie courante. L’héroïne Elizabeth Bennet est une femme forte et indépendante qui refuse de se conformer aux attentes de la société.

Son personnage incarne la lutte pour l’amour véritable et l’émancipation des femmes dans une société où le statut matrimonial était souvent plus important que le bonheur personnel. L’auteure Jane Austen offre ainsi une critique subtile des préjugés de classe, du rôle des femmes et des normes sociales rigides de son époque.

« La Couleur des Sentiments », par Kathryn Stockett

Ce roman poignant se déroule dans le Mississippi des années 1960 et est raconté du point de vue de trois femmes : Skeeter, une jeune écrivaine blanche, et Aibileen et Minny, deux femmes noires travaillant comme domestiques.

Ces femmes courageuses bravent les conventions sociales de l’époque. Leurs voix entrelacées révèlent ainsi les réalités de la ségrégation raciale et l’amitié improbable qui se développe entre elles. Un rappel puissant de la force des femmes et de leur capacité à défier l’injustice pour créer un monde meilleur.

« La Servante écarlate », par Margaret Atwood

L’histoire se déroule dans une société totalitaire. Les femmes y sont asservies, privées de leurs droits les plus fondamentaux et réduites à des rôles assignés par les hommes au pouvoir. Dans ce monde dystopique, le personnage principal, Defred, lutte pour sa liberté et son identité.

L’écriture poignante de Margaret Atwood met ainsi en lumière les luttes des femmes pour l’autonomie et la résistance face à l’oppression. Un roman saisissant à ne pas manquer !

« Les Quatre Filles du Docteur March », par Louisa May Alcott

Parmi les livres où les femmes sont au premier plan, ce roman classique suit les aventures de Meg, Jo, Beth et Amy March. 4 sœurs vivant pendant la guerre de Sécession aux États-Unis.

Chacune incarne une facette différente de la féminité, de l’indépendance de Jo à la gentillesse de Beth en passant par l’ambition artistique d’Amy et les aspirations plus traditionnelles de Meg. Ce roman classique célèbre ainsi les rêves, les espoirs et les luttes des femmes à une époque où leurs voix étaient souvent étouffées.

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« La Voleuse de Livres », par Markus Zusak

Liesel Meminger est une jeune fille qui vole des livres en Allemagne nazie. Son but ? Échapper à la réalité brutale de la guerre. L’histoire est narrée par la Mort elle-même et se concentre sur cette jeune fille courageuse.

C’est l’exemple parfait de l’importance des livres dans nos vies et de la façon dont une jeune femme peut trouver la force et la résilience à travers les mots. Un rappel puissant de la détermination des femmes à survivre et à prospérer même dans les moments les plus sombres.

« Mille Soleils Splendides », par Khaled Hosseini

Ce roman émouvant suit les vies de deux femmes afghanes, Mariam et Laila, à travers les bouleversements politiques de l’Afghanistan. Elles appartiennent à des générations différentes, mais leurs destins se croisent dans les circonstances les plus tragiques. Leurs histoires entrelacées illustrent ainsi la force des liens féminins et la persévérance face à l’adversité.

« L’Alchimiste », par Paulo Coelho

Voici là un roman emblématique qui explore le voyage spirituel et la quête de son propre destin. Bien que le protagoniste principal soit Santiago, un jeune berger, le rôle de la femme dans ce récit est crucial. C’est en effet à travers Fatima, l’amour de Santiago, que l’importance de suivre ses rêves et d’écouter son cœur est mise en lumière.

Fatima incarne la sagesse et la patience, et son soutien inébranlable encourage Santiago à poursuivre son voyage et à découvrir sa légende personnelle. Ce livre démontre ainsi comment les femmes jouent un rôle essentiel en inspirant et en guidant bien souvent les hommes.

« Matilda », par Roald Dahl

Pour finir, voici un livre pour enfants. Matilda Wormwood est une fillette surdouée dotée de pouvoirs télékinésiques et passionnée de livres. Face à des adultes cruels, elle trouve refuge dans les livres et se sert de sa brillante intelligence pour faire face à des situations difficiles.

C’est une héroïne inspirante qui démontre que l’intelligence, la persévérance et le courage n’ont pas d’âge ni de genre. Ce roman encourage ainsi les jeunes lecteur.rice.s à croire en leur potentiel, à résister à l’injustice et à chercher la connaissance comme source d’émancipation.

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Ces livres où les femmes sont au premier plan nous rappellent la force, la résilience et l’ingéniosité des femmes. Ils nous inspirent à embrasser notre propre pouvoir et notre propre capacité à façonner nos destins. Alors, laissez-vous emporter par ces histoires captivantes !

7 façons d’apprendre une bonne hygiène dentaire aux enfants

La santé bucco-dentaire de nos enfants est une pierre angulaire de leur bien-être général. Des dents robustes et saines sont essentielles non seulement pour mâcher efficacement, mais elles jouent également un rôle crucial dans la prévention des infections et la garantie d’un développement harmonieux. Ainsi, inculquer à nos petit.e.s les vertus d’une hygiène dentaire rigoureuse est un investissement inestimable pour leur avenir.

Premières dents : les premiers pas vers une bouche en pleine santé

Avec l’éruption de la première dent, le compte à rebours commence : c’est le moment idéal pour introduire les premières habitudes d’hygiène dentaire. Même si ces premières quenottes ne sont pas permanentes, leur entretien prépare le terrain pour l’accueil des futures dents définitives. Un brossage doux et régulier dès l’apparition de la première dent peut faire toute la différence.

Établir les bases solides d’une routine quotidienne

Le brossage des dents ne doit pas être perçu comme une corvée, mais comme un rituel salutaire. Encourager votre enfant à se brosser les dents pendant trois minutes chaque matin et soir forge une discipline qui lui sera bénéfique tout au long de sa vie.

L’alimentation : un facteur clé

Tout aussi important que le brossage, veiller à ce que votre enfant adopte une alimentation équilibrée est fondamental. Réduire la consommation de sucre et éviter les grignotages fréquents aide à limiter les risques de carie et favorise une meilleure santé globale.

La visite chez le dentiste : un rendez-vous préventif et essentiel

Faites du cabinet dentaire un lieu familier pour votre enfant en organisant des visites annuelles dès son plus jeune âge. Ces contrôles réguliers permettent non seulement de surveiller l’évolution de sa santé bucco-dentaire, mais aussi d’intervenir rapidement en cas de problème naissant.

En somme, prendre soin des petites perles blanches dès leur apparition peut sembler fastidieux, mais c’est un cadeau précieux que vous faites à votre enfant. Une bonne hygiène bucco-dentaire lui épargnera bien des désagréments futurs et lui permettra d’afficher fièrement un sourire éclatant au fil des ans.

Quelques méthodes pour enseigner les bons gestes

Transformez le brossage en un moment de complicité

Intégrer le brossage des dents dans les rituels quotidiens de votre enfant peut être aussi simple que joyeux. Voici quelques astuces pour y parvenir :

  • Un modèle à suivre : Montrez-leur comment vous brossez vos dents avec soin, en veillant à atteindre chaque surface dentaire, du haut vers le bas ;
  • Rythmez le brossage : Mettez leur chanson préférée pendant le nettoyage ou utilisez un sablier pour marquer un temps de brossage fun et efficace.

L’éveil à la santé bucco-dentaire par le jeu

Pour que ce moment soit attendu avec impatience, transformons-le en jeu ! Voici comment :

  1. Trouvez des vidéos adaptées sur Internet où des enfants s’amusent tout en se brossant les dents ;
  2. Rendez la salle de bain accueillante avec des accessoires colorés comme des brosses à dents ornées de personnages amusants ou des dentifrices aux arômes appréciés par les bambins ;
  3. Instituez un système de valorisation : après une semaine respectueuse de la routine dentaire, pourquoi ne pas permettre à l’enfant de choisir une activité familiale ou son plat préféré ?

Sensibilisation et compréhension : la prophylaxie expliquée aux enfants

Nous pouvons également éveiller leur curiosité naturelle en leur expliquant simplement ce qui se passe dans leur bouche. Ainsi, parler des « mauvais microbes » qui aiment se régaler des restes alimentaires et qui peuvent abîmer leurs jolies quenottes pourrait bien susciter chez eux l’envie de protéger leur sourire radieux.

Lorsque l’on sait combien les souvenirs et habitudes formés durant l’enfance influencent notre vie adulte, il devient évident que ces moments partagés autour du lavabo ne sont pas qu’une question d’hygiène. Ils sont aussi l’occasion d’instaurer une relation durable avec la santé globale. Un sourire resplendissant est souvent le reflet d’une routine bien rodée ; commençons donc dès maintenant à construire celle-ci avec nos enfants !

Voici ce que la truffe de votre chien dit de sa santé

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Lorsque nous observons nos fidèles compagnons à quatre pattes, il est souvent facile de remarquer leur comportement et leurs expressions faciales. Cependant, un élément souvent négligé, mais crucial pour évaluer leur bien-être est leur truffe. Le moindre changement sur la truffe de votre fidèle compagnon peut être un message caché concernant sa santé. Voici ce que la truffe de votre chien dit de sa santé. Apprenez à décoder les signes.

Signes et symptômes à surveiller sur la truffe du chien

La truffe de votre compagnon à quatre pattes peut vous en dire long sur sa santé. Certains signaux doivent attirer votre attention et vous inciter à agir pour le bien-être de votre animal.

Symptômes alarmants

Une truffe qui présente des modifications notables mérite une attention particulière. Voici les symptômes qui devraient vous pousser à consulter un vétérinaire.

  • Dépigmentation : une perte de couleur soudaine ou progressive peut indiquer un problème sous-jacent.
  • Excroissances ou boutons : des anomalies sur la surface peuvent être le signe d’infections ou de troubles cutanés.
  • Rougeur, gonflement, douleur : ces signes peuvent révéler une inflammation ou une infection nécessitant un traitement rapide.
  • Crevasses, fissures ou plaies : des altérations de la texture de la truffe sont souvent synonymes d’affections dermatologiques.
  • Écoulements anormaux : un nez qui coule avec des sécrétions colorées peut signaler des troubles respiratoires.

N’attendez pas si vous observez l’un de ces symptômes chez votre chien.ne. Un diagnostic précoce par un.e professionnel.le est essentiel pour traiter efficacement toute affection.

Anomalies comportementales associées

L’état de la truffe doit être évalué en conjonction avec le comportement général du/de la chien.ne.

  • Apathie et faiblesse : si votre chien.ne reste couché sans envie de bouger, cela pourrait indiquer un malaise plus grave.
  • Perte d’appétit : un changement dans les habitudes alimentaires est souvent le premier signe que quelque chose ne va pas.
  • Fébrilité : une truffe chaude accompagnée d’autres symptômes tels qu’une perte d’appétit pourrait être indicative d’une fièvre nécessitant une intervention vétérinaire.

Ces indices, lorsqu’ils sont pris ensemble, peuvent fournir des informations précieuses sur l’état de santé global de votre animal. En cas de doute, il vaut toujours mieux opter pour la prudence et consulter un.e spécialiste.

L’importance du contexte environnemental

N’oubliez pas que certains facteurs environnementaux peuvent affecter temporairement l’apparence de la truffe sans pour autant signaler une maladie.

  • Variations climatiques : la température extérieure peut influencer l’état du museau. Une journée ensoleillée peut par exemple rendre la truffe plus chaude et sèche qu’à l’accoutumée.
  • Situations stressantes : des visites chez le.a vétérinaire ou des événements inhabituels peuvent provoquer un réchauffement passager du nez chez certain.e.s chien.ne.s.
  • Moments après activité physique : après une promenade dynamique ou une séance de jeu intense, il n’est pas rare que la truffe soit plus tiède en raison de l’augmentation générale de la température corporelle du/de la chien.ne.

Toutefois, si les changements observés persistent au-delà des circonstances immédiates ou s’ils s’accompagnent d’autres signes inquiétants, il est temps de prendre rendez-vous avec votre vétérinaire. Une vigilance attentive aux variations subtiles peut faire toute la différence dans le maintien d’une bonne santé canine. Gardez donc toujours un œil bienveillant sur ces petits détails qui comptent tant !

Interprétation des changements de l’état de la truffe et mesures à prendre

La truffe de votre chien.ne est bien plus qu’un simple organe olfactif ; elle peut être le reflet d’une santé florissante ou le signal d’alerte d’un déséquilibre interne. Comprendre les variations de son état est donc essentiel pour préserver la vitalité de votre compagnon.

Décryptage des modifications truffières

Face à une modification de l’aspect habituel de la truffe, il est crucial d’en évaluer l’origine et la portée. Voici comment interpréter certains changements.

  • Truffe sèche et chaude : si cet état est temporaire, il ne suscite pas d’inquiétude immédiate. Cependant, un tel symptôme persistant pourrait nécessiter un examen vétérinaire.
  • Dépigmentation : ce phénomène peut survenir naturellement avec l’âge ou en réaction à certaines saisons. Une perte de pigmentation soudaine, en revanche, demande une attention vétérinaire.
  • Crevasses profondes ou saignements : ces signes peuvent indiquer une affection dermatologique qui exige des soins spécifiques.
  • Écoulements nasaux inhabituels : ils peuvent être le symptôme d’affections respiratoires variées et requièrent souvent une intervention médicale.

Lorsque vous détectez un ou plusieurs de ces signes, prenez sans tarder un rendez-vous chez le.a vétérinaire pour obtenir un diagnostic précis et adapté.

Action face aux symptômes associés

Soyez attentif.ve aux comportements anormaux qui peuvent accompagner les modifications de la truffe.

  • Notez toute altération dans l’appétit ou les habitudes alimentaires du/de la chien.ne.
  • Surveillez tout signe de léthargie ou d’apathie qui pourrait indiquer une maladie sous-jacente.
  • Gardez un œil sur les selles et vérifiez qu’il n’y a pas de diarrhée ou d’autres troubles digestifs inhabituels.
  • Faites attention aux gémissements, tremblements ou autres manifestations physiques inhabituelles.

Ces observations sont cruciales pour aider votre vétérinaire à poser un diagnostic fiable et à instaurer le traitement approprié si nécessaire.

Maintien d’une truffe en bonne santé

Pour soutenir la santé nasale de votre chien.ne.

  • Maintenez une hydratation adéquate : veillez à ce que votre chien.ne dispose toujours d’eau fraîche à boire.
  • Gardez un environnement propre : nettoyez régulièrement les zones où votre chien.ne se repose et joue pour éviter les infections bactériennes potentielles.
  • Réalisez des visites régulières chez le.a vétérinaire : même en l’absence de symptômes alarmants, des contrôles périodiques permettent d’assurer un suivi approfondi du bien-être animal.

Chaque détail compte lorsque vous examinez la truffe du chien. Les variations peuvent être subtiles, mais significatives. En cas de la moindre incertitude quant au bien-être nasal – et donc général – de votre ami canin, n’hésitez jamais à solliciter l’expertise vétérinaire.

Vous ne devriez pas laisser ces fruits les uns à côtés des autres

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Lorsqu’on parle de conservation des fruits, on imagine rarement que la proximité entre certaines variétés puisse être préjudiciable. Pourtant, il est essentiel de comprendre que le voisinage de certains fruits peut s’apparenter à un véritable accélérateur de maturité, voire entraîner une détérioration prématurée. L’éthylène, cette hormone végétale incolore et inodore, joue un rôle crucial dans ce phénomène.

Les risques de la proximité entre certains fruits

Le piège de l’éthylène

Imaginez : vous disposez vos pommes fraîchement cueillies à côté d’un chou-fleur bien blanc dans votre panier. En apparence innocente, cette association est pourtant loin d’être harmonieuse. La pomme, prodigue en éthylène, agit comme une baguette magique sur le chou-fleur qui se flétrira sans attendre. Ce gaz est aussi responsable du vieillissement accéléré des brocolis, qui perdent leur croquant et leur couleur vibrante sous son influence.

Avocats trop mûrs et bananes blettes

Prenons un autre exemple : les avocats. Ces derniers sont souvent achetés fermes pour ensuite atteindre le point de maturité idéal chez soi. Si vous les placez à côté d’autres producteurs d’éthylène comme les bananes ou les kiwis, vous risquez fort de vous retrouver avec des avocats trop mûrs en un temps record.

Fruits climactériques : double tranchant

Certains fruits continuent leur maturation même après avoir été cueillis ; c’est ce qu’on appelle des fruits climactériques. Parmi eux, on trouve notamment les abricots ou encore les pêches, qui peuvent transformer votre corbeille à fruits en une zone où la maturité s’accélère dangereusement si elles côtoient des bananes.

Précautions et astuces pour une bonne conservation

Voici quelques conseils pour une conservation optimale :

  • Séparation stratégique : pour préserver la fraîcheur de vos récoltes plus longtemps, pensez à séparer les fruits climactériques des autres aliments sensibles à l’éthylène.
  • Rangement réfléchi : éloignez pommes et pommes de terre ou oignons pour éviter germination et pourrissement précipités.
  • Astuce anti-humidité : un bouchon de liège coupé en deux dans votre corbeille peut absorber l’excès d’humidité et prolonger la durabilité de vos fruits tout en éloignant ces indésirables petites mouches friandes de sucre.

Un stockage approprié des fruits

Des climats adaptés pour des saveurs préservées

Avez-vous déjà remarqué comment certains fruits semblent perdre leur caractère juteux ou leur texture croquante trop rapidement ? Pour y remédier, il est crucial de respecter les besoins climatiques propres à chaque espèce.

Les fruits exotiques, par exemple, préfèrent une chaleur douillette similaire à celle de leur habitat naturel. Ainsi, ils devraient résider hors du frigo, sauf lorsqu’ils atteignent une maturité avancée et que vous souhaitez freiner ce processus.

L’art de conserver les baies

Les baies sont délicates et requièrent une attention particulière. Pour éviter qu’une seule baie avariée ne gâte tout le panier, respectez les conseils suivants :

  • Dressez-les dans un bol peu profond sans qu’elles se touchent ;
  • Couvrez-les d’un tissu humide pour maintenir l’humidité nécessaire sans excès.

Fruits à noyau et température ambiante : un duo gagnant

Pour les nectarines ou encore les prunes, privilégiez une conservation à température ambiante, loin des regards indiscrets du soleil. Ces trésors éphémères s’épanouissent pleinement lorsqu’ils reposent en paix sur votre comptoir ou dans votre garde-manger.

Le cas particulier des agrumes

Quant aux agrumes comme les oranges ou les citrons, leur robustesse face au froid n’est plus à prouver. Toutefois, si vous prévoyez de garder ces boules d’énergie vitaminée pendant plus d’une semaine, envisagez un lieu frais tel qu’un cellier ou une cave naturelle, qui offre fraîcheur et humidité sans tomber dans l’excès glacial du réfrigérateur.

Sacs en plastique perforés : amis des pommes et poires

Pour conserver pommes et poires plus longtemps, suivez ces étapes :

  1. Placez-les dans des sacs en plastique perforés afin de limiter l’évaporation tout en permettant la respiration ;
  2. Gardez-les à l’étage supérieur du réfrigérateur où la température est moins froide.

Ces pratiques vous aideront à prolonger la durée de vie de vos provisions fruitières tout en conservant leurs précieux apports nutritionnels. Rappelez-vous que chaque fruit mérite son propre espace adapté pour exprimer pleinement ses arômes et bienfaits. En suivant ces conseils personnalisés selon le type de fruit, vous maximisez non seulement leur conservation, mais aussi le plaisir qu’ils procurent à chaque bouchée !

Peur de déranger : comment la vaincre pour se sentir à l’aise avec les autres ?

Nous avons (presque) tou.te.s déjà ressenti ça. Vous savez, ce sentiment de malaise qui s’installe quand on hésite à interrompre quelqu’un, à poser une question ou simplement à engager une conversation. C’est la peur de déranger, cette petite voix intérieure qui nous susurre que notre présence n’est pas souhaitée, que nos paroles ne sont pas pertinentes. Ou pire encore, qu’elles seront accueillies avec indifférence ou irritation. La bonne nouvelle, c’est qu’il existe des moyens de naviguer au-delà de cette peur et de se sentir plus à l’aise avec les autres.

Comprendre la peur de déranger

Tout d’abord, il est important de comprendre d’où vient cette peur. C’est un sentiment commun qui peut affecter de nombreuses personnes dans divers contextes sociaux et professionnels. Cette crainte découle de l’anxiété liée à l’idée de perturber l’harmonie ou l’équilibre d’une situation ou d’une relation.

Cette peur peut avoir ses racines dans diverses expériences passées, comme le rejet ou le jugement, qui nous ont conditionné.e.s à croire que notre présence ou nos contributions ne sont pas les bienvenues. Parfois, c’est aussi une manifestation de notre anxiété sociale, une appréhension dite irrationnelle face à l’interaction humaine. À noter qu’elle peut être exacerbée par le désir de plaire aux autres ou par une faible estime de soi, conduisant à une retenue excessive dans les interactions sociales.

Reconnaître les pensées irrationnelles

La première étape pour surmonter la peur de déranger est de reconnaître les pensées irrationnelles qui la sous-tendent. Nous avons tendance à surestimer les réactions négatives des autres et à sous-estimer notre propre valeur.

Apprenez donc à remettre en question ces pensées automatiques et à les remplacer par des pensées plus réalistes et bienveillantes. Rappelez-vous que tout le monde a le droit d’être entendu et que votre voix compte autant que celle des autres.

Pratiquer l’assertivité

L’assertivité est une compétence clé pour surmonter la peur de déranger. Cela implique de s’exprimer de manière claire, directe et respectueuse de ses propres besoins et opinions, sans empiéter sur ceux des autres.

Apprenez à dire non quand c’est nécessaire, à exprimer vos idées et à poser des questions sans crainte d’être jugé.e. Plus vous pratiquerez l’assertivité, plus vous vous sentirez en contrôle de vos interactions sociales.

Cultiver la confiance en soi

La confiance en soi est un antidote puissant contre la peur de déranger. Prenez le temps de reconnaître vos forces et vos réalisations, et apprenez à vous valoriser pour ce que vous êtes.

Fixez-vous des objectifs réalistes et défiez-vous régulièrement pour sortir de votre zone de confort. Plus vous développerez votre confiance en vous, moins vous serez enclin.e à vous soucier de ce que les autres pensent de vous.

Pratiquer l’écoute active

Une autre façon de surmonter la peur de déranger est, lors des interactions sociales, de se concentrer sur les autres plutôt que sur soi-même. Pratiquez l’écoute active en accordant toute votre attention à votre interlocuteur.ce, en posant des questions pertinentes et en montrant de l’empathie.

En vous concentrant sur les besoins et les intérêts des autres lors de vos interactions, vous vous sentirez alors moins préoccupé.e par votre propre présence et plus connecté.e aux autres. À noter que bien qu’il soit admirable d’être attentionné.e envers les besoins des autres, il est tout aussi important de veiller à ses propres besoins au quotidien.

Accepter l’imperfection

Enfin, rappelez-vous que personne n’est parfait. Les interactions sociales peuvent parfois être maladroites ou inconfortables, et c’est tout à fait normal. Acceptez l’imperfection et apprenez à rire de vous-même.

Au lieu de craindre le jugement des autres, utilisez-le comme une opportunité d’apprentissage et de croissance. Plus vous vous autoriserez à être authentique et vulnérable, plus vous vous sentirez à l’aise avec les autres.

La peur de déranger peut être une barrière significative dans nos interactions sociales, mais elle n’est pas insurmontable. Votre présence et vos contributions sont précieuses ; le monde a besoin de votre voix unique.

Mère toxique : comment faire pour s’en libérer ?

Difficile de se construire lorsqu’on a été victime d’une mère dite « toxique », qu’elle ait été violente physiquement ou psychologiquement. À l’heure où l’on parle partout de détox du corps, on oublie souvent celle de l’esprit ; non moins importante pour « guérir ». Les traumatismes émotionnels laissés par une mère toxique peuvent particulièrement être tenaces et lourds à porter. On fait le point avec les psychanalystes et autrices Virginie Megglé et Doris-Louise Haineault, la psychiatre et psychanalyste Marie Lion-Julin, ainsi qu’avec l’autrice Toni Maguire.

Une lourde emprise maternelle

Je l’adore, elle me pourrit la vie, on se déchire… Au cours de notre enfance, nous avons été nombreux.ses à avoir pensé cela de notre mère. Que ce soit sur internet, où nous sommes des millions à nous raconter chaque jour, dans un journal intime caché précieusement sous notre lit, ou encore dans des livres parus en librairie ; c’est un fait : l’écriture ouvre la fenêtre vers l’évasion. Et si justement, en cas de « conflit » mère-enfant, l’écriture se présentait telle une pommade cicatrisante ? Un remède pour faire taire les démons du passé ?

Parce que oui, qui a dit que les relations mères-enfant étaient simples et épanouissantes ? Une maman peut en effet être une sainte femme… ou une véritable harpie. Pour cette dernière, l’arrivée d’un.e enfant est un rayon de soleil. L’affection maternelle, peut malheureusement, au dépend de l’enfant – généralement une fille – qui cherche seulement à être aimé.e et protégé.e, devenir excessive, voire plus toxique que constructrice.

« Un parent toxique, c’est une personne manipulatrice incapable d’offrir un véritable soutien à son enfant. Le parent responsable, qui est dans 95 % des cas la mère, invente chez son enfant des problèmes de santé physiques ou émotionnels », nous précise Virginie Megglé, psychanalyste et autrice du livre « Aimer ses parents même quand on en a souffert » (Solar, 2015)

Avoir l’amour de celle qui nous a élevé.e.s, se compléter mutuellement, n’est-ce pourtant pas le souhait de tou.te.s les enfants ? Oui, mais voilà, si d’extérieur cet amour maternel semble parfait, il est en réalité destructeur. Au sein du foyer, une lourde emprise maternelle s’exerce.

Selon la psychanalyste Doris-Louise Haineault le comportement de ces « surmères » s’explique souvent par une absence d’affection dans leur enfance, un besoin de reconnaissance perpétuel.

Comment faire pour se libérer de ce lourd passé ?

Bien que le corps médical ait connaissance de cette pathologie dérivée du nom du baron de Münchhausen, elle demeure peu reconnue, car très difficilement détectable.

« L’enfant subit quotidiennement un lavage de cerveau. Iel est incapable d’admettre la dangerosité de sa mère. Et pour cause, ces mères sont des manipulatrices insoupçonnées. Elles souffrent en réalité du syndrome de Münchhausen par procuration (SMP). C’est sans doute la forme de maltraitance la plus complexe connue à ce jour », nous détaille Doris-Louise Haineault, également autrice de « Fusion mère-filles S’en sortir ou y laisser sa peau » (PUF, 2006)

Face à un comportement si pervers, comment peut-on se reconstruire ? Devenue psychiatre, Julie Gregory a trouvé la force d’écrire « pour que les médecins, les professionnel.le.s de la santé et le public ne puissent plus jamais ignorer l’existence de cette sombre maladie ». Dans son livre « Ma mère, mon Bourreau » (L’Archipel, 2006), elle livre un témoignage poignant sur son enfance construite autour des mensonges de ses supposées maladies inventées par sa mère. Jusqu’à sa majorité, Julie passe ainsi ses journées entre les murs aseptisés des hôpitaux frôlant même une opération à cœur ouvert.

Alors, la guérison serait-elle au bout du crayon ? Pour Marie Lion-Julin, psychiatre et psychanalyste spécialisée depuis une quinzaine d’années dans les relations mères et filles c’est certain.

« Pour ces enfants de parents toxiques qui ont subi des dommages psychologiques importants, l’écriture permet de se libérer doucement de toutes les émotions liées à des expériences traumatisantes », nous explique-t-elle

Mère toxique : écrire pour se libérer de son emprise

Tandis que certain.e.s se sont tourné.e.s vers la psychothérapie, d’autres par crainte de dévoiler leurs pensées les plus intimes devant un.e inconnu.e ont trouvé une alternative : écrire. La psychanalyste Virginie Megglé le préconise notamment à ses patient.e.s :

« Il faut écrire tout d’abord pour soi. Certaines victimes de mères toxiques parviennent ensuite à publier un livre. C’est tout aussi bénéfique, voire plus, mais c’est une étape supplémentaire à franchir. Il faut être prêt.e à être en quelque sorte jugé.e par les lecteur.rice.s et beaucoup ne le sont pas. Écrire simplement pour soi est déjà une belle étape pour se libérer du mal provoqué par une mère toxique » 

L’écriture une sauveuse d’âme

Tout comme Julie Gregory dans son livre « Ma mère, mon bourreau », Toni Maguire, autrice de « Ne le dis pas à maman » partage l’idée que l’écriture peut être un véritable « remède » pour les personnes qui étant enfant ont subi les ravages d’une mère toxique.

« Tout le monde devrait écrire, même des futilités de tous les jours. Aujourd’hui, la seule chose pour laquelle je remercie ma mère, c’est d’ailleurs de m’avoir donné cet amour des livres. Dans mon enfance, les livres sont devenus mes amis et me permettaient de m’échapper de la cruauté du monde réel. Quelques années plus tard, l’écriture personnelle m’a aidée. J’avais volontairement fait un dur travail sur moi-même pour laisser mon passé derrière moi, écrire a donc été difficile au début, mais tellement salvateur au final ! »

L’écriture peut ainsi permettre de prendre du recul sur cette relation maternelle toxique. Ce travail d’écriture peut s’opérer seul.e chez soi, ou avec l’aide d’un.e spécialiste. Un.e psychologue ou un.e psychanalyste peut notamment éclairer votre lanterne et vous épauler dans la dure épreuve qui consiste à s’éloigner de votre mère, sans culpabilité.

Enfant d’une mère toxique : ne plus culpabiliser

Il est parfois difficile d’admettre que sa mère est toxique (syndrome de Stockholm). Cela remet en effet en question le symbole de modèle du parent aux yeux de l’enfant.

Souvent, les enfants de parents toxiques s’interdisent ainsi de le dire aux autres, voire de le penser, au nom du respect. Problème : en refusant de blâmer sa mère, l’enfant se retrouve à rejeter la faute sur sa propre personne. Un poids (très) difficile à supporter pendant toute une vie.

« Les relations au sein de la famille sont très complexes. Tout peut très bien se passer et du jour au lendemain tout bascule, ce fut le cas pour moi. C’est peut-être difficile à croire pour une personne qui a lu mon histoire à travers mon livre, mais encore aujourd’hui j’ai le souvenir de moment heureux passé en famille. Jusqu’à l’âge de 5-6 ans, je n’avais aucune raison de ne pas aimer ma mère puisque c’était la personne qui me donnait le plus d’affection, qui m’apprenait à lire et qui me nourrissait. Et en tant qu’enfant je n’avais absolument pas les capacités de penser que ma mère puisse être toxique envers moi », nous confie Toni Maguire

Vous l’aurez compris, une mère toxique même si elle est en apparence adorable, empêche en réalité son enfant de s’épanouir. Elle exerce une lourde emprise et son comportement peut provoquer de la culpabilité chez l’enfant. Hier enfant sous emprise psychologique, aujourd’hui en tant qu’adulte exorcisez vos démons grâce à l’écriture.

8 conseils pour porter le cardigan avec modernité ce printemps

Ce vêtement polyvalent incarne à la fois le confort douillet et le style intemporel. Mais attention, malgré son statut de classique, le cardigan peut parfois basculer du côté « chic et tendance » au « look mémé ». Pas de panique ! Nous sommes là pour vous guider à travers les méandres de la mode printanière. Découvrez nos conseils pour porter le cardigan avec style et modernité cette saison printanière. Au programme : des coupes originales, des couleurs vives et des motifs fantaisie !

Choisissez la bonne coupe

Tout est dans la coupe ! Optez pour un cardigan ajusté qui épouse élégamment votre silhouette sans pour autant être trop serré. Évitez les modèles trop amples qui risquent de vous donner un air « négligé ». Privilégiez les coupes modernes et structurées pour un look contemporain.

Jouez avec les longueurs

Les cardigans se déclinent dans une multitude de longueurs, alors faites-en votre allié ! Pour un look sophistiqué, optez pour un cardigan mi-long qui tombe juste en dessous des hanches. Pour une allure plus décontractée, un cardigan court style crop top peut être parfait, à porter avec une jupe ou un pantalon taille haute.

Cardigan long gris chiné – Disponible du 44/46 au 52/54

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Expérimentez avec les textures et les motifs

Le printemps est le moment idéal pour jouer avec les textures et les motifs. Osez le cardigan en maille fine pour un look léger et aéré, ou bien optez pour un modèle en lin pour un style plus décontracté. Les motifs floraux, les rayures et les motifs géométriques sont également de bons choix pour apporter une touche de fraîcheur à votre tenue.

Jouez sur les superpositions

Les cardigans sont parfaits pour les superpositions, alors n’hésitez pas à les associer à d’autres pièces de votre garde-robe. Portez un cardigan ouvert sur un top ajusté et un jean skinny pour un look casual-chic, ou bien glissez-le sous une veste en (simili)cuir pour un style plus edgy.

Ceinturez-le

Pour une silhouette plus structurée, ajoutez une ceinture à votre cardigan. Une ceinture fine portée à la taille peut instantanément transformer votre cardigan en une pièce ultra-stylée. Optez pour une ceinture en (simili)cuir pour un look classique, ou bien misez sur une ceinture tressée pour une touche bohème. Un des meilleurs conseils pour porter le cardigan avec modernité ce printemps !

Jouez avec les couleurs

Le printemps est le moment idéal pour jouer avec les couleurs vives et les tons pastel. Optez pour un cardigan dans une teinte lumineuse comme le rose, le jaune ou le bleu ciel pour apporter une touche de fraîcheur à votre tenue. Si vous préférez les looks plus sobres, un cardigan dans une couleur neutre comme le beige, le gris ou le blanc cassé sera toujours élégant et facile à associer.

Cardigan en tricot jaune – Disponible du 44/46 au 60/62

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Accessoirisez avec style

Les accessoires sont essentiels pour peaufiner votre look. Ajoutez une touche d’élégance avec des bijoux délicats comme des boucles d’oreilles pendantes ou un collier fin. Une écharpe légère ou un foulard coloré peuvent également apporter une touche de sophistication à votre tenue.

Optez pour des matières de qualité

Enfin, investissez de préférence dans des cardigans fabriqués à partir de matières de qualité comme la laine mérinos, le cachemire ou le coton pima. Non seulement ces matières sont plus durables, mais elles offrent également un confort optimal et un tombé impeccable.

En suivant ces conseils mode, simples mais efficaces, vous pourrez arborer votre cardigan avec style et assurance tout au long de la saison printanière. Alors, n’ayez pas peur d’oser !

Éclipse du 25 mars 2024 : ces signes seront les plus touchés

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Le 25 mars 2024, le ciel nocturne sera le théâtre d’un phénomène céleste remarquable : une éclipse lunaire dans la constellation de la Balance. Ce spectacle astronomique n’est pas juste un régal pour les yeux ; il symbolise aussi un puissant catalyseur de transformation selon les préceptes de l’astrologie. Pour celleux qui scrutent les astres en quête de sens, cet événement marque le début d’un cycle semestriel où les thèmes de justice, d’amour et d’équilibre prendront une place prépondérante dans leur vie.

Comprendre l’éclipse du 25 mars 2024 et son importance astrologique

Comment apercevoir l’éclipse ?

Les configurations célestes sont comme des horloges cosmiques, dictant des périodes propices aux remises en question et aux évolutions personnelles. Lorsque la Terre s’interpose entre le Soleil et la Lune, elle provoque une éclipse lunaire, un phénomène qui se déroulera précisément à partir de 5h33 du matin sous le signe de la Balance jusqu’à 10h32.

Cette constellation est traditionnellement associée à l’harmonie et à la patience, mais également connue pour son indécision caractéristique.

Ce que révèle cette éclipse particulière

L’éclipse pénombrale du mois de mars sera localisée dans l’axe Bélier-Balance, ce qui promet des bouleversements spécifiquement pour certains signes zodiacaux. Elle invite chacun à poser un regard neuf sur ses relations interpersonnelles, sa carrière ou encore ses aspirations profondes. Cependant, cette introspection pourrait également susciter des incertitudes amplifiées par l’influence hésitante de la Balance.

Les signes sous les projecteurs célestes

Le Bélier face à une lucidité accrue

Les natif.ve.s du Bélier traverseront une période charnière où leur perception des relations s’intensifiera, leur offrant une clarté sans précédent. Ce sera un temps propice pour :

  • Faire preuve de discernement dans vos interactions.
  • Assumer pleinement votre positionnement dans chaque relation.
  • Ne pas craindre les remous émotionnels, car ils sont le prélude à un renouveau nécessaire.

Cancer : une stabilité à cultiver en soi

Quant aux Cancers, cette éclipse leur soufflera la force de rompre avec le superflu pour favoriser leur croissance personnelle. Voici quelques pistes pour canaliser cette énergie :

  • Identifiez les habitudes qui freinent votre évolution et osez y mettre fin.
  • Cultivez la sérénité intérieure ; elle sera votre phare dans la tempête.
  • Ouvrez-vous aux nouveautés qui frapperont à votre porte, elles portent en elles des promesses d’épanouissement.

La Balance au cœur d’une réflexion existentielle

Les Balances se verront confrontées à des choix cruciaux qui façonneront leur avenir. Pour traverser cette période avec grâce :

  • Faites preuve de patience et pesez chaque décision avec soin.
  • Laissez-vous guider par vos aspirations profondes plutôt que par l’indécision.
  • Ayez confiance en vos jugements ; ils vous mèneront vers un chemin aligné avec vos valeurs véritables.

Pour tous les signes, cet événement astral est une invitation à embrasser le changement avec courage et optimisme. Les transitions peuvent sembler perturbantes, mais souvenez-vous qu’elles sont souvent synonymes de progrès et d’enrichissement personnel. Que ce soit dans le domaine amoureux, familial ou professionnel, restez attentif.ve aux signaux que vous envoie l’univers durant cette saison des éclipses et préparez-vous à accueillir les transformations avec enthousiasme.

Dans l’attente de ce rendez-vous cosmique, il serait sage d’anticiper ces changements potentiels en pratiquant la méditation ou toute autre activité permettant une introspection bienveillante. Ainsi préparé.e.s, vous saurez tirer parti des vibrations lunaires pour avancer résolument vers votre destinée.

Pâques 2024 : 3 recettes au chocolat pour une fête gourmande

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Pâques, c’est la symphonie du renouveau, l’éveil des sens et le triomphe de la gourmandise. Cette fête tant attendue se pare de saveurs exquises et d’innovations culinaires qui promettent de ravir les papilles. Pour cette occasion spéciale, nous vous présentons une série de recettes chocolatées conçues pour enchanter votre table et offrir un véritable ballet gustatif à vos convives.

Œufs de Pâques au chocolat fourrés

Ingrédients :

  • 200g de chocolat noir ou au lait
  • 100g de mascarpone
  • 2 cuillères à soupe de sucre glace
  • Arômes au choix (vanille, orange, etc.)

Instructions :

  1. Préparer les moules à œufs de Pâques : Utilisez des moules en silicone pour œufs de Pâques.
  2. Faire fondre le chocolat : Au bain-marie, faites fondre doucement le chocolat.
  3. Former les coquilles : Avec un pinceau, étalez le chocolat fondu dans les moules. Mettez au frais 10 minutes puis ajoutez une deuxième couche. Réfrigérez jusqu’à ce que les coquilles soient fermes.
  4. Préparer la garniture : Mélangez le mascarpone avec le sucre glace et l’arôme choisi.
  5. Farcir les coquilles : Une fois les coquilles de chocolat durcies, retirez-les délicatement du moule et remplissez-les de la garniture mascarpone.
  6. Assembler les œufs : Utilisez un peu de chocolat fondu pour coller les deux moitiés des œufs ensemble.
  7. Réfrigérer : Réfrigérez les œufs jusqu’à ce qu’ils soient fermes.

Mousse au chocolat express

Ingrédients :

  • 200g de chocolat noir
  • 3 œufs
  • 30g de sucre
  • Une pincée de sel

Instructions :

  1. Faire fondre le chocolat : Faites fondre le chocolat au bain-marie ou au micro-ondes.
  2. Séparer les jaunes des blancs d’œufs : Réservez les jaunes et montez les blancs en neige avec une pincée de sel.
  3. Incorporer le chocolat : Une fois le chocolat fondu, lissez-le et incorporez les jaunes d’œufs, puis ajoutez le sucre.
  4. Ajouter les blancs en neige : Incorporez délicatement les blancs en neige au mélange de chocolat.
  5. Réfrigérer : Versez la mousse dans des coupes et réfrigérez au moins 1 heure.

Fondant au chocolat minute

Ingrédients :

  • 100g de chocolat noir
  • 100g de beurre
  • 2 œufs
  • 50g de sucre
  • 20g de farine

Instructions :

  1. Préchauffer le four à 200°C.
  2. Faire fondre le chocolat et le beurre au bain-marie ou au micro-ondes.
  3. Ajouter le sucre et les œufs : Battez le sucre avec les œufs, puis incorporez le mélange chocolat-beurre.
  4. Incorporer la farine : Ajoutez la farine et mélangez jusqu’à obtention d’une pâte lisse.
  5. Cuire : Versez la préparation dans des moules individuels et faites cuire au four pendant 10-12 minutes.
  6. Servir chaud : Démoulez et servez immédiatement pour un cœur fondant.

Cette année, laissez libre cours à votre imagination et créez une ambiance où chaque détail raconte une histoire. et si vous avez préparé trop de douceurs, pensez aux ballotins personnalisés que chacun.e emportera comme souvenir gourmand d’une journée mémorable. Avec ces astuces, votre table se transformera en toile vivante, reflet d’une fête où la joie se savoure autant qu’elle se partage. Joyeuses Pâques !

Arrivée du printemps : pourquoi notre libido est-elle boostée ?

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Ah, le printemps ! Les oiseaux chantent, les fleurs bourgeonnent et, semble-t-il, l’amour flotte dans l’air. Mais pourquoi cette saison en particulier semble-t-elle avoir un tel effet sur notre libido ? Pourquoi nos pulsions charnelles s’éveillent-elles comme des bourgeons après un long hiver ? Voici pourquoi notre libido est boostée au printemps.

La nature qui s’éveille : un stimulant visuel

Imaginez-vous marcher dans un parc au début du printemps. Les arbres autrefois dénudés se parent de feuilles fraîches et verdoyantes, les fleurs éclatent de couleurs vives, et partout autour de vous, la nature s’ébroue après sa torpeur hivernale. Cette explosion de vie est un spectacle à couper le souffle, et il semble que notre libido en soit tout aussi impressionnée.

Des études ont montré que les stimuli visuels, tels que la vue des paysages printaniers luxuriants, peuvent déclencher une réaction physiologique dans notre corps, augmentant ainsi notre désir sexuel. L’abondance de lumière naturelle, après des mois d’obscurité hivernale, joue également un rôle crucial en régulant nos hormones et en stimulant notre humeur, ce qui peut intensifier notre libido de manière significative.

Les hormones en ébullition

Parlons maintenant des hormones. Le printemps est une période de renouveau, et nos hormones semblent le savoir mieux que quiconque. Avec l’augmentation de l’exposition au soleil, notre corps produit plus de vitamine D, ce qui entraîne une augmentation des niveaux de testostérone chez les hommes et une régulation accrue des hormones sexuelles chez les femmes.

La testostérone, souvent associée à la libido dite masculine, est également présente en quantités significatives chez les femmes et joue un rôle crucial dans le maintien de leur désir sexuel. Ainsi, lorsque les niveaux de testostérone augmentent avec l’arrivée du printemps, il n’est ainsi pas surprenant que notre libido suive le mouvement, prête à s’épanouir sous le soleil printanier.

L’effet de la lumière sur notre horloge interne

Le printemps marque également un changement radical dans la durée des jours et des nuits. Avec des journées qui s’allongent progressivement, notre horloge biologique interne, également connue sous le nom de rythme circadien, s’ajuste pour correspondre à ce nouveau cycle de lumière. Et cette synchronisation de notre horloge interne a un impact direct sur notre libido.

Des recherches ont montré que les niveaux de sérotonine, un neurotransmetteur associé au bien-être et à l’humeur, augmentent avec une exposition accrue à la lumière du jour. Une sérotonine plus élevée peut non seulement améliorer notre humeur, mais aussi augmenter notre désir sexuel en nous rendant plus réceptifs aux stimuli érotiques. Le printemps apporte avec lui une dose bienvenue de lumière naturelle, propulsant notre libido vers de nouveaux sommets en même temps que les températures grimpent. Voici pourquoi notre libido est boostée au printemps.

La psychologie du renouveau

Enfin, n’oublions pas l’aspect psychologique de cette saison de renouveau. Après des mois d’hibernation hivernale, le printemps symbolise le début d’un nouveau cycle de vie. C’est une période où nous nous sentons revigoré.e.s, pleins d’énergie et prêt.e.s à conquérir le monde – ou du moins, notre vie sexuelle et/ou amoureuse.

Ce sentiment de renouveau peut se traduire par un désir renouvelé d’exploration, d’aventure et, bien sûr, d’intimité physique. Nous nous sentons plus ouvert.e.s aux nouvelles expériences, plus disposé.e.s à prendre des risques et plus enclin.e.s à nous laisser emporter par la passion de l’instant présent. Ainsi, le printemps agit comme un catalyseur pour nos désirs les plus profonds, nous incitant à nous connecter plus intimement avec nos partenaires et à embrasser pleinement la magie de l’amour.

L’arrivée du printemps ne se limite pas à un simple changement de saison. À mesure que la nature se réveille de son sommeil hivernal, nos corps et nos esprits suivent le mouvement, réagissant à l’énergie renouvelée qui imprègne l’air printanier. Laissez-vous emporter par le tourbillon de passion et de désir qu’il apporte avec lui !