Lassé des critiques, le papa le plus tatoué du monde réplique

Remy, connu comme le « papa le plus tatoué du monde », ne passe pas inaperçu avec son corps entièrement recouvert d’encre. Face aux critiques virulentes sur son apparence, notamment ses tatouages faciaux, il a décidé de répondre fermement à ses détracteurs, affirmant son identité avec assurance.

Un look hors norme qui divise

Ancien chef cuisinier reconverti en influenceur, Remy s’est fait une place unique grâce à ses nombreux tatouages – une centaine répartis sur tout son corps en seulement 8 ans. Son visage, couvert de dessins, suscite particulièrement des réactions polarisées : admiration pour certaines personnes, reproches et jugements pour d’autres. Sur Instagram, où il compte plus de 160 000 abonnés, il partage régulièrement son style distinctif qui interpelle.

 

View this post on Instagram

 

A post shared by Remy I Schofield (@ephemeral__remy)

La riposte d’un créateur de contenu affirmé

Las des commentaires négatifs, notamment sur TikTok, Remy a répondu avec une franchise tranchante à l’un de ses haters qui critiquait son visage. Remy dénonce « l’hypocrisie des critiques anonymes sur les réseaux sociaux », affirmant que « beaucoup se cachent derrière de faux profils pour juger ». Il cible aussi les incels, qu’il décrit comme des hommes frustrés et haineux, rappelant qu’il ne se laissera pas intimider.

Entre affirmation de soi et combat contre les préjugés

Le parcours et l’attitude de Remy incarnent un message fort : l’apparence physique ne doit pas être un sujet de moqueries ou de dénigrements. En assumant pleinement ses tatouages – y compris les plus visibles – il invite à une meilleure acceptation des différences et à respecter les choix personnels. Sa notoriété grandissante en tant qu’influenceur montre que l’authenticité peut trouver sa place, malgré les critiques.

Remy inspire ainsi une communauté large qui voit en lui un modèle de courage et d’expression libre. Sa capacité à réagir sans se laisser atteindre tout en restant fidèle à lui-même illustre le combat quotidien contre les stéréotypes liés aux tatouages et à l’apparence atypique.

Fabienne Ba.
Fabienne Ba.
Je suis Fabienne, rédactrice pour le site The Body Optimist. Je suis passionnée par le pouvoir des femmes dans le monde et leur capacité à le changer. Je crois que les femmes ont une voix unique et importante à offrir, et je me sens motivée à faire ma part pour promouvoir l'égalité des sexes. Je fais de mon mieux pour soutenir les initiatives qui encouragent les femmes à se lever et à être entendues. J'essaie également de participer aux débats sur des sujets tels que le harcèlement sexuel, la discrimination fondée sur le genre et l'accès aux opportunités économiques. Je pense que ces conversations sont essentielles pour créer un monde plus juste et plus inclusif pour tous.

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

Vous aimerez aussi

Cette marque fait entrer l’inclusion dans la mode comme jamais auparavant

La mode évolue sans cesse, et Primark le prouve avec éclat. L’enseigne a récemment introduit « Sophie »,...

Cette grand-mère de 81 ans est devenue la DJ la plus en vue de son pays

David Guetta a du souci à se faire ! Cette mamie de 81 ans manie les platines sans...

« Une femme avec une barbe ? » : elle réplique aux commentaires sur son corps

Face à la cruauté des réseaux sociaux, certaines voix refusent de se taire. C’est le cas de @kaonasmr,...

Moquée pour ses formes, elle en fait une force (et en tire des revenus)

Danielle Gardiner est devenue une figure emblématique du mannequinat grande taille en Grande-Bretagne. Après avoir atteint la taille...

Sans maquillage et en pyjama : Lindsay Lohan se montre comme jamais à 39 ans

Dans un pyjama noir satiné, les cheveux relevés grossièrement en chignon et le visage démaquillé, Lindsay Lohan, la...

Sans maquillage, elles se montrent telles qu’elles sont (et c’est bouleversant)

Sur Instagram, les filtres abondent, les lumières sont travaillées, les traits retouchés. Un hashtag continue toutefois de tracer...