Élue « femme parfaite » en Norvège, elle dépenserait 4800 euros par mois en beauté

Janaína Prazeres, mannequin brésilien de 25 ans, a récemment fait sensation après avoir été élue « femme parfaite » par le magazine Playboy Norvège. Cette reconnaissance a propulsé la jeune femme sous les feux des projecteurs, révélant au passage son investissement considérable dans son apparence physique. Un chiffre vertigineux qui soulève la question : jusqu’où les gens sont-ils prêts à aller pour atteindre une supposée « perfection physique » ?

Un budget beauté exorbitant

Chaque mois, la mannequin brésilienne investit une somme conséquente pour entretenir son image. Selon les informations relayées par plusieurs médias, Janaína Prazeres dépenserait pas moins de 4800 euros par mois pour « entretenir sa beauté ». Ce budget astronomique couvrirait divers soins et traitements esthétiques, allant des produits cosmétiques haut de gamme aux séances régulières chez des professionnels de la beauté. Et Janaína ne semble pas prête à ralentir ses dépenses, bien au contraire. Tous ces investissements sont, selon elle, essentiels pour maintenir son statut de « femme parfaite ». Cette obsession de la perfection passe d’ailleurs aussi par une gestion minutieuse de son image sur les réseaux sociaux.

Une quête de perfection coûteuse

L’idée d’être « parfaite » selon les critères de beauté moderne semble omniprésente chez Janaína. Au-delà de ses dépenses mensuelles, elle aurait investi près de 900 000 euros en chirurgie esthétique au fil des années. Cette somme colossale témoigne de sa détermination à atteindre ce qu’elle considère comme l’idéal de beauté. Parmi les interventions supposées, on peut imaginer des opérations du visage, de la poitrine et du corps, bien que les détails précis n’aient pas été divulgués.

Janaína a aussi fait parler d’elle en dévoilant les « critères stricts » qu’elle impose aux hommes souhaitant la fréquenter. Cette exigence élevée reflète sa vision de la perfection, qu’elle applique non seulement à elle-même, mais aussi à son entourage. « J’ai des règles très claires qui, pour moi, sont fondamentales pour évaluer un partenaire potentiel. Un homme qui vit encore avec sa mère n’aura probablement pas l’autonomie nécessaire pour une relation sérieuse. (…) Je ne suis pas ici pour élever qui que ce soit, je cherche un partenaire, pas un enfant », a-t-elle confié au Mirror.

 

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Une carrière florissante

Avec son statut de « femme parfaite », Janaína Prazeres ne se contente pas seulement de faire parler d’elle à travers ses choix esthétiques. La notoriété acquise grâce à ce titre a ouvert de nombreuses portes à Janaína Prazeres. Elle est désormais une influenceuse suivie par des milliers de personnes sur les réseaux sociaux, notamment sur Instagram où elle partage régulièrement des clichés de sa vie quotidienne et de ses collaborations professionnelles.

 

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Un modèle controversé

Cette quête effrénée de la « perfection physique » a également suscité des critiques. Certaines personnes estiment que son image renforce des standards de beauté irréalistes, voire dangereux, qui peuvent avoir des conséquences négatives sur la perception de soi des jeunes femmes. D’autres pointent du doigt l’impact de telles dépenses sur la société de consommation, où l’apparence physique semble primer sur la personnalité et les qualités humaines. Janaína, elle, reste imperméable à ces critiques. Elle estime que chacun est libre de faire ce qu’il veut avec son corps et son argent.

Si son budget mensuel de 4 800 euros pour sa beauté semble exorbitant, il reflète la réalité d’une industrie où l’image est un capital précieux. Bien que son titre de « femme parfaite » lui ait apporté une reconnaissance et des opportunités professionnelles, il souligne également les pressions et les attentes démesurées qui pèsent sur l’apparence dans notre société.

Anaëlle G.
Anaëlle G.
Je suis passionnée de mode, toujours à l’affût des tendances qui disent quelque chose de notre époque. J’aime observer comment on s’habille, pourquoi on le fait, et ce que la mode révèle de nous. Derrière les défilés et les silhouettes, ce sont surtout les histoires qui me passionnent.

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