Julia Roberts a encore frappé fort sur le tapis rouge du BFI London Film Festival. L’actrice et productrice américaine a choisi de revisiter le costume classique en mode « Y2K », misant sur une silhouette proche du corps et des accessoires pointus. Vêtue d’un smoking noir à larges revers, une chemise blanche à boutons noirs laissée entrouverte et des bottes à bouts pointus, elle incarne une élégance contemporaine.
Une allure androgyne et affirmée
En arborant une coupe de cheveux latérale, une mise en beauté aux tons « sunset » et une accumulation de colliers perles, Julia Roberts affiche son goût pour le mélange des genres. Ce choix stylistique divise : certains commentent « ce sont des vêtements d’hommes » en référence à sa réinvention du vestiaire dit masculin. L’assurance et l’aura de l’actrice séduisent néanmoins la majorité : le public salue « Elle est magnifique », « toujours incroyable », et admire sa capacité à « casser les codes ».
Julia Roberts attends the Headline Gala screening of « After The Hunt » during the 69th BFI London Film Festival. pic.twitter.com/uOvdloZQdr
— 📸 (@metgalacrave) October 11, 2025
Une icône qui inspire toutes les générations
Julia Roberts n’en est pas à son premier coup d’éclat dans l’univers du costume : ses looks d’Armani au Golden Globes 1990 restent encore une référence. Aujourd’hui, elle insuffle une nouvelle modernité à ce symbole du power-dressing, prouvant que le costume n’est plus réservé aux hommes, mais à toutes les personnes qui osent s’affirmer sans compromis.
Son passage sur le tapis rouge londonien signe une vraie déclaration : l’élégance et la puissance passent parfois par des vêtements traditionnellement masculins, sublimes une fois réinventés avec la touche Julia Roberts. Elle prouve une fois de plus qu’elle est une icône de mode en réinventant le costume sur le tapis rouge du BFI London Film Festival. Vêtue d’un tuxedo noir ajusté, assorti d’une chemise blanche ouverte, de bottines pointues et d’une accumulation de colliers perles, l’actrice impose son style androgyne avec une aisance déconcertante.
julia roberts in giorgio armani, winning her first golden globe for best actress in 1990 pic.twitter.com/zLvP7Bs3N1
— Julia Roberts Fans (@robertsposts) September 4, 2025
En jouant avec les frontières des genres, Julia Roberts montre ainsi que le costume est aujourd’hui l’un des plus puissants symboles de liberté stylistique et d’émancipation. Son apparition londonienne confirme qu’à 57 ans, on peut réinventer les classiques et inspirer toutes les générations à s’approprier les codes vestimentaires selon leurs propres règles.