Lectrice passionnée, j’ai toujours un roman à portée de main. Toutefois, sur le sable chaud, je n’éprouve pas le même plaisir de lire qu’au creux de mon lit et de mes innombrables oreillers. À la plage, le confort est plutôt spartiate. Enfin, ça c’était avant de découvrir les coussins de la marque PETITS CADORS, qui assurent une lecture sans douleur ni torticolis.
Lire à la plage n’a jamais été aussi agréable
Entre deux baignades salées, je m’empare de mon livre préféré avec les doigts encore mouillés. Je me précipite sur ma serviette à la hâte pour continuer l’histoire. Or, si dans ma chambre à coucher, je suis une véritable marathonienne littéraire, face à la mer, j’avance plus lentement dans les pages et je perds facilement le fil. Je passe plus de temps à trouver une position convenable qu’à lire le cœur de l’intrigue. Je me retourne dans tous les sens et je finis rapidement par perdre patience. Même si le récit est prenant, les douleurs aux cervicales et aux lombaires mettent un point final à ce loisir estival. Allongée sur la serviette, la nuque me tire et posée sur les coudes, la colonne vertébrale me crie au secours.
Résultat : le livre, que je me faisais une joie de parcourir, retourne dans l’ombre de mon sac en raphia. Scoliose minime, arthrose, cervicalgie chronique, bassin décalé… j’ai tout juste 26 ans et j’ai les problèmes d’une personne du troisième âge. À défaut de pouvoir changer de dos, j’ai changé mes habitudes et acquis des coussins adaptés à mes maux. Et pas n’importe lesquels. Ceux de la marque française PETITS CADORS. Avec leur petit format et leur garnissage moelleux, digne des oreillers de palace, ils ont sauvé mon été. Grâce aux modèles nomades Salvador et Epicur, plus besoin de s’encombrer d’un transat. Ces coussins tout terrain nous offrent la même hospitalité qu’un nid douillet.
Salvador, mon compagnon de farniente
Les vacances sont synonymes de repos. Les vagues qui font office de berceuse, la mer qui se dessine à perte de vue, le soleil qui caresse la peau. Toutes les conditions sont réunies pour se relaxer. Or, au-delà des grains qui rentrent dans nos narines, il y a un autre problème : le manque de confort. Après une heure de bronzette, on a des fourmis qui grouillent dans tous les membres et le dos aussi détraqué qu’après une séance d’auto-tamponneuse. Pourtant, inutile de ramener toute sa maison sur la plage pour se sentir comme chez soi et buller en paix.
Le coussin de voyage Salvador fait un excellent écrin. Présenté comme un coussin de sieste d’extérieur, il amortit la nuque avec style et douceur. Malgré son format « poche », il est aussi accueillant que le polochon XXL qui accompagne mes nuits. Sa forme en arche permet de caler la nuque sans forcer, que l’on soit sur le dos ou légèrement sur le côté. Je l’ai testé sur ma terrasse, puis directement à la plage.
Résultat : un confort immédiat, une sensation de relâchement musculaire presque instantanée. Je pouvais rester allongée des heures, à papoter avec mon voisin de serviette (alias mon compagnon), sans ressentir la moindre tension. Le tissu est de belle facture et les motifs sont si jolis que plusieurs personnes sont venues me demander d’où il venait. Le design est à la fois chic et joyeux, loin des coussins techniques tristounets qu’on trouve en pharmacie. Le petit plus : le coussin est compatible avec la machine. Plus de traces de sel, de sable ou de résidus de crème solaire. Il est comme neuf pour la prochaine saison. Et avec sa petite anse bien placée, je peux le tenir du bout de l’index ou le suspendre à mon sac. Astucieux !
Epicur, un petit plus déco qui me suit du salon au transat
J’ai aussi adopté Epicur, un modèle un peu plus grand pensé pour habiller chaque endroit où il se pose. Avec son imprimé vitaminé et moderne, il gâte les yeux autant que la nuque. Il a bien plus de cachet que les coussins gonflables cheap en plastique. Il se destine à tous les plaisirs tranquilles, de la pause lecture sur le canapé à la session de mots fléchés sur le transat en passant par les soirées pique-niques. Dépeint comme un repose-tête, il tient divinement ses promesses. Il appelle à la détente, au lâcher-prise et à la rêverie.
Même si ce coussin apporte un supplément d’âme à la déco et fait l’atout charme du salon, il se prête à tous les espaces. Ce coussin, qui ne ressemble à aucun autre, surclasse tous ceux contre lesquels j’ai pu me blottir. Ergonomique et pratique, il épouse bien la forme de la nuque et me garde dans une posture naturelle, qui n’abîme pas le dos. L’expression « être sur un petit nuage » n’a jamais été aussi réaliste.
C’est un coussin où il fait bon se lover, surtout quand l’envie de lire me prend et me démange les pouces. Comme tous les modèles PETITS CADORS, Epicur est confectionné en France et rempli avec un garnissage d’oreiller haut de gamme fabriqué à partir de plastique collecté dans les cours d’eau. De quoi assurer une expérience de bien-être inégalable, qu’importe le lieu.
Ce que je retiens : plus qu’un coussin, une libération
En général, mon mal de dos ne me quitte jamais. La douleur est presque quotidienne, mais les coussins PETITS CADORS m’apportent ce répit dont j’ai tant besoin. Plus que de simples accessoires de voyage que l’on range une fois la belle saison passée, ils s’ancrent dans le décor toute l’année et ouvrent une parenthèse réconfortante à chaque fois qu’ils se hissent sous ma nuque. Adopter les coussins PETITS CADORS, c’est pouvoir lire son polar addictif sans dommages collatéraux. Ces coussins d’excellence donnent l’illusion d’être dans un cocon, qu’importe le paysage en toile de fond.
La marque PETITS CADORS, spécialiste du confort de la tête, répond à toutes les exigences, y compris celles des mères allaitantes. Elle a d’ailleurs cousu un coussin spécialement pour elles. Médaillé d’argent au concours Lépine, il enlace l’enfant comme un bras humain et permet aux mamans d’apprécier ce moment de complicité, sans récolter de vilaines crampes.
Est-ce que je recommande ? Mille fois oui. Ce sont des produits simples, mais ultra efficaces, pensés avec soin et fabriqués avec goût. Leur atout en plus : ils sont beaux, ce qui ne gâche rien. Bref, ils ont transformé ma façon de lire et de me reposer – sur le sable comme ailleurs.
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