Jessica Jayne Turner, créatrice de contenu sur TikTok @jessicajayneturner, a récemment publié une vidéo dans laquelle elle revient sur sa découverte de Shinjuku, quartier emblématique et très animé de Tokyo. En légende, elle écrit : « Visiblement, je n’ai pas fait assez de recherches avant d’explorer Shinjuku, mais je voulais partager mon ressenti honnête car je me suis sentie assez mal à l’aise ». Un témoignage spontané, entre fascination et désorientation.
Une surprise face à une réalité inattendue
Ce qui l’a le plus perturbée, c’est la présence de femmes dans la rue, debout avec des pancartes affichant des prix. « J’aurais aimé que quelqu’un me prévienne ou m’avertisse », confie-t-elle dans la vidéo. Si Jessica (@jessicajayneturner) reconnaît que le quartier est magnifique la nuit, illuminé de néons et rempli de vie, cette scène l’a profondément troublée. Elle mentionne également les « maid cafés » – des établissements où les serveuses sont costumées façon manga – qui l’ont déstabilisée. « J’en avais entendu parler, mais le voir en vrai m’a un peu fait peur », admet-elle, tout en rappelant qu’elle comprend qu’il s’agisse d’une part de la culture locale.
@jessicajayneturnerI clearly didn’t do enough research before exploring Shinjuku but wanted to share my honest opinion as it felt quite uncomfortable!♬ original sound – Jessica Jayne
Un témoignage sincère, pas un jugement
Malgré son inconfort initial, Jessica (@jessicajayneturner) conclut sa vidéo sur une note positive : « C’est vraiment beau, la nuit. Il y a de la lumière partout, des gens partout, ça vit ». Son témoignage n’est pas une critique, mais une réaction humaine, face à une culture différente. Un rappel, aussi, que voyager, c’est parfois se confronter à l’inattendu – et en parler avec respect.
Le témoignage de Jessica (@jessicajayneturner) illustre ainsi parfaitement la complexité du voyage moderne : entre curiosité, choc culturel et ouverture d’esprit. Son expérience à Shinjuku rappelle que découvrir un autre pays, c’est aussi accepter de sortir de sa zone de confort et de rencontrer des réalités qui bousculent nos repères.