Entretenir son jardin en été : 5 bonnes raisons d’utiliser une débroussailleuse thermique

À l’approche de l’été, le jardin se dévoile sous son meilleur jour. Les fruits pullulent, les légumes s’épanouissent à foison et les fleurs apportent un beau regain de couleur aux extérieurs. Le tableau semble idyllique. Sauf que voilà, qui dit nature abondante dit aussi herbes invasives et liseron exubérant. Pour se débarrasser de cette végétation spontanée qui prend un peu trop ses aises, rien ne vaut la bonne vieille débroussailleuse. Vous trouverez forcément votre bonheur chez Bricorama qui propose plusieurs modèles à la fois conscients et minutieux.  Découvrez les débroussailleuses thermiques sur le site.

Contrairement à la tondeuse, cet appareil compact peut aller dans tous les petits recoins du jardin difficiles d’accès. De quoi faire une belle coupe à ses espaces verts. Ces 5 arguments finiront par vous convaincre d’investir (enfin) dans une débroussailleuse thermique, plus puissante et moins polluante que son homologue électrique. Pieds de vigne et chardon peuvent trembler !

Débroussailleuse thermique et électrique, quelle différence ?

La débroussailleuse est quasiment indispensable pour avoir un coin extérieur soigné et propre. Elle est complémentaire avec la tondeuse, qui se cantonne à la tonte plus globale. La débroussailleuse, malléable et facile à manipuler, elle, se charge généralement des finitions. C’est elle qui permet d’avoir un rendu net et un jardin parfaitement coiffé. Pour faire simple, c’est un peu le couteau-suisse du jardinage. Elle sert à défricher les zones accidentées, à éclaircir les fossés et à sculpter une forme harmonieuse aux buissons. Cependant, aucun modèle n’est similaire. D’ailleurs les débroussailleuses se départagent en deux catégories : électrique et thermique.

Les modèles électriques demandent, certes, peu d’entretiens, mais ils sont moins performants. Ils ont également une autonomie plus faible et une mobilité « réduite ». Ils conviennent donc surtout aux petits espaces. À l’inverse, la débroussailleuse thermique, elle, abrite un moteur à essence 2 à 4 temps. Elle a beaucoup plus de vigueur et d’endurance que sa jumelle électrique.

Aucun millimètre de touffes ne lui résistera. Les modèles récents ont d’ailleurs l’avantage d’être plus écologiques et pratiques. Plus besoin de tirer avec acharnement sur un starter. Tout ce qu’il faut pour tailler une nouvelle tête à votre jardin.

1 – Un confort d’utilisation

Loin de là l’idée de débroussailler son jardin à la force du sécateur et à la sueur de son front. La débroussailleuse thermique prend dignement le relais. Contrairement à sa version électrique, qui dépend bien souvent d’un fil, elle s’emploie sans encombre. Pas de risques d’être ralenti dans son élan à cause d’un câble trop court. La débroussailleuse thermique offre une plus grande liberté de mouvements.

Il est donc tout à fait possible d’aller à l’autre bout du jardin sans créer un embouteillage de rallonges ni risquer de s’emmêler les jambes. À noter que le moteur à deux temps est plus léger et celui à quatre temps s’avère moins abrasif pour la nature.

2 – Un fonctionnement très simple

La débroussailleuse thermique n’est pas compliquée. Elle a simplement besoin d’une petite opération de remplissage pour déclarer la guerre aux mauvaises herbes. Rien de plus. Une fois remplie à bloc, elle peut tenir jusqu’à plusieurs heures sans fléchir. Elle est donc à la portée de toutes les mains, vertes ou pas. En fonction du modèle choisi, la substance mise dans le réservoir peut être différente. Une débroussailleuse thermique à 2 temps se nourrit d’un mélange d’huile et de carburant et celle à 4 temps sollicite seulement de l’essence pure.

Évidemment, pas question de débroussailler son jardin en tenue de camping avec des claquettes et un débardeur. Il est impératif de porter des vêtements en toile épaisse, résistants aux déchirures, des gants de protection, un casque avec visière et des chaussures fermées à la texture cuirassée. Même sous 30°C, cette tenue de combat est exigée.

Gpointstudio/Freepik

3 – Des modèles variés

Il n’existe pas un, mais plusieurs modèles de débroussailleuse thermique, allant du plus basique au plus poussé. Les aficionados du jardinage recommandent surtout de prendre un modèle avec une tête interchangeable qui s’adapte aux différents types de végétation et de surface :  2, 3, 4 fils en nylon, couteaux et lames en acier.

Certaines sont également dotées de roues, ce qui la rend plus praticable et stable, même dans les endroits escarpés. D’autres possèdent un harnais avec renfort dorsal maintenir une bonne posture et éviter de se retrouver avec le dos en miettes le lendemain.

4 – Un résultat net et précis

La débroussailleuse thermique promet un rendu impeccable et régulier. Avec sa forte résistance et son côté « nomade », elle s’engouffre dans tous les coins, même les plus pittoresques. Terrain en pente, zone accidentée, colline qui plonge à pic, friche, bosquets surmontés de cailloux… la débroussailleuse thermique est une aventurière dans l’âme.

Elle va là où la tondeuse s’arrête, dans les coins du jardin plus abrupts. Plantes dures, ronces coriaces et autres plantes tentaculaires y succombent à tous les coups. Après son passage, le jardin respire de nouveau et ressort plus pimpant que jamais.

5 – Une puissance optimale

Parmi tous les engins de coupe, la débroussailleuse thermique est la plus féroce. C’est elle qui possède le rendement le plus important. Le moteur peut atteindre une puissance de 1150 W, soit autant qu’une tondeuse à gazon.

Cet outil fauche les ronces et les végétations spontanées avec une aisance qui relève presque du plaisir (adieu les cloques sur les mains). La débroussailleuse thermique est ainsi la meilleure option pour dégrossir les terrains vierges, laissés en berne pendant tout l’hiver comme c’est le cas dans les résidences secondaires.

Pour rafraîchir votre jardin sans y laisser toute votre énergie, la débroussailleuse thermique est d’une précieuse aide. C’est un outil essentiel à avoir dans son garage. Vous n’allez plus pouvoir vous en passer (au grand damne des oreilles du voisinage).

Émilie Laurent
Émilie Laurent
Dompteuse de mots, je jongle avec les figures de style et j’apprivoise l’art des punchlines féministes au quotidien. Au détour de mes articles, ma plume un brin romanesque vous réserve des surprises de haut vol. Je me complais à démêler des sujets de fond, à la manière d’une Sherlock des temps modernes. Minorité de genre, égalité des sexes, diversité corporelle… Journaliste funambule, je saute la tête la première vers des thèmes qui enflamment les débats. Boulimique du travail, mon clavier est souvent mis à rude épreuve.
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