Arrêter les bikinis après 46 ans ? Les surprenants résultats d’une enquête

Les surprenants résultats d’une enquête sous-entendent qu’il existerait un âge limite pour tout : se faire tatouer à 38 ans, porter des leggings à 43 ans, ou encore fermer son compte Facebook à 49 ans. Comme si la vie devenait soudainement « trop sérieuse » pour ces plaisirs passé un certain cap. Et cette enquête ne s’arrête pas là…

Un calendrier du ridicule

Cette fameuse étude, réalisée auprès de 2 000 Britanniques, multiplie les recommandations farfelues. Passé 39 ans, les femmes devraient oublier les jupes. Les hommes, eux, devraient dire adieu aux baskets une fois leurs 49 ans passés. Quant aux bikinis, il paraît qu’ils sont à proscrire après 46 ans. Vous aimez faire la fête et rentrer tard ? Mauvaise nouvelle : selon cette enquête, mieux vaut éviter de sortir après minuit dès 52 ans. Et pour les personnes qui aimeraient encore se détendre dans un festival passé 45 ans, c’est soi-disant déjà trop tard.

À croire que, selon cette étude, il existe une date limite de consommation pour s’amuser, danser ou simplement s’habiller comme bon nous semble. On s’attendrait presque à découvrir que les éclats de rire sont interdits au-delà de 50 ans ou que les selfies deviennent hors-la-loi une fois atteint l’âge de la retraite.

Faire ce qui vous fait plaisir

Heureusement, la réalité est bien plus joyeuse que ce programme déprimant. Il n’y a pas d’âge pour exprimer sa personnalité, que ce soit par la mode, les tatouages ou les activités sociales. Si vous adorez vos leggings, portez-les fièrement à 20 ans, 40 ans ou 70 ans. Si l’envie de vous faire tatouer vous prend à 50 ans, foncez. Chaque tatouage raconte une histoire, et il n’y a pas d’âge limite pour écrire la sienne.

Envie d’aller danser jusqu’à 3 heures du matin à 60 ans ? Pourquoi pas ! Si les festivals vous amusent à 70 ans, continuez à vous éclater devant la scène principale. Et si vous voulez trinquer un peu trop fort avec vos amis, faites-le sans honte, quel que soit votre âge.

Quant à Facebook, c’est bien plus qu’un réseau social : c’est un outil pour garder le contact avec vos proches, partager vos souvenirs ou encore suivre l’actualité. Si cela vous convient, pourquoi s’en priver sous prétexte d’une date fictive fixée par une étude douteuse ?

Cette enquête montre à quel point il est absurde de ranger les individus dans des cases dictées par l’âge. La seule règle valable, c’est celle du bonheur. L’essentiel est de se sentir bien dans sa peau, quel que soit son âge. Alors, tatouages à 60 ans, leggings à 70 ans ou encore selfies sur Facebook à 80 ans ? Oui, mille fois oui, si c’est ce qui vous rend heureux.

Maïssane Fraiji
Maïssane Fraiji
Passionnée par l'écriture et toujours à l'affût des nouvelles tendances, j'adore explorer l'univers de la mode, du bien-être et des histoires qui résonnent avec les femmes d'aujourd'hui. Curieuse de nature, j'aime surtout partager mes découvertes et échanger autour de tout ce qui m'inspire.
Vous aimerez aussi

Une journaliste agressée en plein direct, les images qui choquent l’Espagne

Les téléspectateurs espagnols ont récemment assisté à une scène choquante, lorsqu’une journaliste a été agressée en plein direct....

Ce que les jeunes Norvégiennes ne veulent plus entendre

De la blonde glaciale à la randonneuse riche et discrète, les clichés sur les jeunes Norvégiennes ont la...

Vivre en Suisse : entre perfection et pression sociale ?

La Suisse est souvent citée comme un exemple de réussite : paysages idylliques, sécurité, services publics efficaces, salaires...

« Tu es jolie… pour une ronde » : ces « compliments » qui blessent plus qu’ils ne flattent

Vous l’avez peut-être déjà entendu. Cette phrase qui semble tendre une main, mais qui en réalité vous pousse...

Un missile frappe un OVNI et rebondit : les images qui intriguent le Congrès

Une séquence surprenante, capturée en octobre 2024 au large du Yémen, révèle un missile américain Hellfire tiré par...

Ce que l’on ne vous dit jamais sur les violences faites aux enfants

Il existe des vérités que l’on préfère ignorer, mais qu’il devient essentiel de regarder en face. Les violences...