Quitter son emploi ne se fait pas tous les jours en musique et en danse. C’est pourtant ce qu’a fait un employé dans une campagne originale signée par une banque norvégienne, qui a saisi une manière ludique d’aborder la démission et l’envie d’indépendance.
Une démission qui roule sur un rythme endiablé
Dans un spot publicitaire réalisé par l’agence slo Try, un homme traverse son lieu de travail avec une énergie débridée, enchaînant moonwalks, bodyrolls et autres pas de danse jusqu’à clore sa sortie en twerk. Ce spectacle inattendu transforme le geste souvent formel de la démission en une célébration pleine d’irrévérence et de joie.
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Du bureau à l’entrepreneuriat : un passage symbolique
Cette chorégraphie rythmé exprime bien plus qu’un simple départ : elle incarne la rupture avec une routine professionnelle pesante et l’aspiration à un nouveau chapitre en tant qu’entrepreneur. La campagne de la banque DNB s’adresse tout particulièrement aux jeunes créateurs d’entreprise et indépendants, leur proposant un accompagnement simplifié pour se lancer.
Un message de liberté décomplexée
Loin de l’image classique et sérieuse de la finance, cette publicité met en avant un ton humoristique, festif, et sans tabou. Elle joue la carte d’une liberté retrouvée, prônant une génération qui veut plus d’actions que de discours, et qui revendique le droit à un travail épanouissant et libre.
Une punchline marquante pour conclure
Le spot se termine sur une image « choc », avec une punchline inscrite sur une paire de fesses dénudées, un signe fort pour souligner ce besoin d’expression sans filtre. Ce choix publicitaire résonne avec un public qui voit dans l’entrepreneuriat une véritable délivrance.
Avec humour et audace, cette publicité dépasse ainsi le simple effet viral pour délivrer un message profond : celui du courage de se réinventer. En transformant la démission en chorégraphie libératrice, elle invite chaque personne à reprendre le contrôle de sa vie professionnelle, à oser le changement et à célébrer la liberté de créer son propre chemin. Une manière inattendue – mais terriblement efficace – de rappeler que l’indépendance peut aussi se danser.